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Noces d'or et de diamant à Nassogne

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Ce dimanche premier octobre 2017, l'Administration Communale de Nassogne fêtait six couples jubilaires, deux avaient 60 ans de mariage et quatre cinquante ans.

Laissons le Bourgmestre Marc Quirynen vous les présenter :

 Mesdames, Messieurs, Chers Jubilaires

Je vous souhaite à toutes et à tous la bienvenue à cette cérémonie d’hommage et c’est avec beaucoup de plaisir que je vous accueille aujourd’hui chers jubilaires, pour vous apporter le message de sympathie et d’estime que vous adresse bien volontiers notre commune, à vous qui fêtez cette année vos noces d’or, 50 ans de mariage et mieux encore vos noces de diamant, 60 ans de vie commune. Cette année, vous êtes neuf couples jubilaires, 5 noces d’or et 4 noces de diamant.

Les aléas de la vie sont tels qu’il n’est pas toujours possible de participer aux cérémonies organisées en son honneur. C’est ainsi que je vous prie de bien vouloir excuser l’absence de trois couples qui n’ont pu nous rejoindre pour raison de santé, tous trois habitant le village de Nassogne : Mr et Mme André MARTIN et Juliette MATHIEU de même que Mr et Mme Joseph HENROTIN et Yvette QUINET, deux couples qui fêtent cette année leurs noces de diamant, et Mr et Mme Camille GODENNE et Monique WILKIN qui fêtent leurs noces d’or.

Nous voici donc réunis pour fêter les jubilaires du jour, que je remercie d’avoir répondu à l’invitation de la Commune. En toute bienséance, je commencerai par les couples qui fêtent cette année leurs noces de diamant,

Monsieur et Madame MARECHAL-BAY de Forrières.

20171001_141756.jpgJoseph né à Bra-sur-Lienne le 27 mai 1936, Jeanne née à Saint-Hubert le 26 octobre 1937, se sont mariés à Hatrival le 30 avril 1957. Ils ont 2 enfants, 5 petits-enfants et 4 arrière-petits-enfants. Diplômé à l’école de Theux en 1955, Monsieur commence sa carrière professionnelle en tant qu’instituteur au Collège St Quirin à Huy, fonction qu’il occupera jusqu’en 1957, année de leur mariage, mais aussi année de leur exode au Congo, où Monsieur devint professeur de français dans une école professionnelle pour adultes congolais jusqu’en 1964. Cette même année, il démissionne de cette école et est engagé à l’Union minière de Kipouchi. De 1964 à 1967, il est conseiller pédagogique et a la responsabilité de faire fonctionner les écoles pour les Africains, soit la supervision de 5 écoles et de 5 chefs d’école, une centaine de classes et plus ou moins 6000 élèves. En 1967, l’école belge subsidiée par la Belgique disparaît, mais un directeur de société lui demande de créer à Kipouchi, une école primaire pour les enfants européens, ce qu’il fit avec 2 instituteurs et 1 institutrice. Cette école était réservée aux enfants de cadres européens et comptait jusqu’à 90 élèves. Après les évènements de Kolwezi, en 1978, de nombreux Européens étant partis, l’enseignement a dû se réorganiser et a été dispensé également aux enfants de cadres africains (des ingénieurs, des médecins…), jusqu’en 1989, année de fermeture de l’école. Une fermeture obligée de l’école de par la quasi-disparition d’élèves européens, en cette dernière année on ne comptait en effet plus que deux élèves européens. C’est ainsi qu’à 53 ans, Monsieur s’est retrouvé sans boulot avec néanmoins le versement d’un préavis et s’est retrouvé au chômage jusqu’à l’âge de 55 ans. Une fois rentré en Belgique, il prit sa retraite. Quant à Madame, pendant ces 32 années passées au Congo, elle s’occupa de leur jardin de fleurs et de légumes, et d’un élevage de poules (+/- une centaine) et de lapins, qu’elle écoulait auprès des Zaïrois aux fêtes de fin d’année. Par ailleurs, Madame est une très bonne cuisinière et organisa au Congo des repas pour 150 à 200 personnes (jumping internationaux, tournoi de tennis).

Leurs congés, ils les passaient à Nassogne au Thier des Gattes puis à la Diglette. Le père de Madame étant garde-forestier sur la commune de Nassogne pour Monsieur Brown, c’est ainsi qu’ils se sont rapprochés de Nassogne et se sont installés à Forrières en 1989, dans la maison achetée en 1975.

Passant leur retraite à Forrières, Madame se dit assez casanière, ayant gardé beaucoup de contacts avec leurs amis du Congo. Quant à Monsieur, au Congo, il pêchait, jouait à la pétanque et au bowling. De retour au pays, il s’est occupé du foot de Forrières avec Monsieur Vermeesch et Monsieur Dupont. Aujourd’hui, il joue à la pétanque à Jemelle. Il est vrai qu’à Jemelle il y a la rue du Congo, faut-il y voir un brin de nostalgie ?

Pour terminer deux petites anecdotes de leur périple en Afrique.

La première concerne Madame lors d’une balade sur un fleuve dans les années 70, ils étaient sur deux zodiaques. Madame était dans le premier canot. Ils se sont approchés d’un groupe d’hippopotames qui n’a pas hésité à soulever le bateau, sans pour autant fort heureusement le retourner. Imaginez sa frayeur et tout autant celle de son mari qui a assisté à toute la scène dans un autre bateau.

La deuxième anecdote concerne Monsieur. En 1961, Monsieur part avec un de ses amis à une chasse de nuit, avec une lampe de tête, pour chasser l’antilope. Tout à coup, son ami voit deux yeux, deux points brillants, au loin. Il tire une première fois et un œil se ferme, il tire une seconde fois et le deuxième œil se ferme. En fait, il avait tiré sur les catadioptres de sa voiture… Il est rentré chez lui et dit à sa femme : « J’ai fusillé ma voiture ».

Le deuxième couple qui fête ses noces de diamant cette année et qui nous ont fait l’honneur de nous rejoindre sont

Monsieur et Madame MICHELET-LEBLANC de Nassogne

20171001_141800.jpgFrancis, né à Ixelles le 28 septembre 1934 et Bernadette, née à Uccle le 26 novembre 1936, se sont mariés à Nassogne le 7 septembre 1957. Ils ont eu un garçon qui a 58 ans aujourd’hui, et deux petits-enfants (jumeaux) de 23 ans. Madame est originaire de Nassogne. Elle a toujours été domiciliée à Nassogne, mais a vécu à Bruxelles pendant sa scolarité et à Anvers pour la profession de son mari. Cela fait donc 80 ans qu’elle est domiciliée à Nassogne. Monsieur, originaire de Bruxelles, est domicilié à Nassogne depuis son mariage il y a donc 60 ans, mais tous deux sont résidents permanents depuis 1982. Monsieur est amoureux de Nassogne depuis longtemps.

En effet, lorsqu’il était au collège Saint-Michel à Bruxelles, il séjournait régulièrement dans la maison de vacances des pères jésuites à la Diglette au Fourneau Saint-Michel. Il connaît bien la forêt de Nassogne, ayant effectué plusieurs camps de scouts durant les vacances scolaires. Ils se sont rencontrés à Nassogne lors du mariage du frère aîné de Madame qui était le chef scout de Monsieur. Son diplôme en poche, Monsieur a travaillé durant 20 ans à la Société Générale avant d’exercer le passionnant métier de consultant pour des entreprises belges et européennes, pour lesquelles il s’occupait du recrutement des dirigeants. Pensionné, il s’était engagé dans l’associatif (Baluchon Alzheimer Belgique) qu’il vient de quitter. Quant à Madame, elle avait de qui tenir. Sa famille est originaire des Ardennes dont une partie est la famille Jadot de On et Gillet d’Anloy, des ingénieurs qui construisirent des chemins de fer en Chine, en Afrique et aussi en Belgique (la ligne de la Lesse). Avec de tels gènes, les défis ne lui font pas peur. C’est ainsi qu’elle crée une bibliothèque francophone en pays flamand avant d’être chargée des « relations publiques » d’une entreprise de travaux publics internationale. En 1982, elle est mobilisée par le Baron Coppée qui venait de reprendre la Converserie pour transformer ce relais de chasse de la famille royale en un centre d’étude de la forêt et de séminaire d’entreprises. Au niveau loisirs, Madame a contribué aux débuts du club de tennis de Nassogne avec Joseph Buron. Monsieur et Madame font beaucoup d’activités sportives, notamment du golf. Aujourd’hui, Madame a arrêté pour raison de santé, mais monsieur continue. Monsieur skie encore à 83 ans, ce qui fait l’admiration de son épouse. Ils sont bridgeurs et ont monté un club de bridge au château de Deulin (près de Marche-en-Famenne.

Pour terminer par la petite anecdote, voici ce que nous a rapporté Madame : un beau matin d’été, Madame constate que l’eau de sa piscine avait pris des colorations brunâtres comme du purin, l’odeur en moins. Avait-elle utilisé un mauvais produit d’entretien et provoqué une réaction ferrugineuse ? Que faire ? En désespoir de cause, Madame appelle un ami-échevin de la commune qui n’en croit pas ses yeux et convoque illico le fontainier qui avoue qu’une petite erreur dans les vannes de tuyauterie fait déverser les eaux de nettoyage du château d’eau dans sa piscine !!! Bien entendu, une eau parfaitement propre a été amenée par la suite par le fontainier complaisant.

Cet incident n’a pas altéré leur appréciation à l’égard de la commune où ils sont heureux d’y poursuivre leur parcours de vie qu’ils souhaitent encore long.

Nous passons maintenant aux couples qui fêtent cette année leurs noces d’or,

Monsieur et Madame ROSSEELS-HERIN de Lesterny

20171001_141811.jpgFrancis, né à Mévergnies-Lez-Lens le 6 juillet 1938 et Simone, née à Lesterny le 25 décembre 1937 se sont mariés à Lesterny le 29 avril 1967. Ils ont 1 fille et deux petits-fils âgés de 17 et 15 ans.

Madame est originaire de Lesterny et Monsieur vient du Hainaut, de Mevergnies près d’Ath, mais comment ces deux-ci se sont-ils rencontrés ? Le papa de Monsieur tombé veuf a refait sa vie avec une dame qui n’était autre que la cousine de Madame. Madame et Monsieur se rencontraient donc lorsqu’ils se rendaient dans la famille à Saint-Hubert. Puis il y a eu un mariage dans la famille où ils se sont retrouvés l’un à côté de l’autre. À la fin de la soirée, Monsieur a proposé à Madame de la raccompagner et voilà comment cette aventure naquit.

Au niveau professionnel, Monsieur a été tout d’abord militaire de carrière en Allemagne, à Aix-la-Chapelle plus précisément, non loin de la frontière, où ils s’y installèrent. Par la suite, Monsieur a travaillé dans une station à la Baraque Fraiture. Durant cette période, ils déménagèrent à Samrée, près de La Roche, où ils restèrent un an. Puis Monsieur proposa à Madame de revenir à Lesterny, car les parents de Madame y vivaient. C’est ainsi qu’ils ont construit dans ce village, où Madame exploita un élevage de chèvres pendant 32 ans. En complément de cet élevage, elle faisait du fromage, un produit qui contribua à la renommée de notre commune au niveau des produits du terroir. Un emploi du temps bien chargé qui ne leur laissait pas beaucoup de temps pour les loisirs. Néanmoins, ils vont une fois par an en vacances et quelques fois au resto. Ils font partie du Comité du Cercle du Village et Madame est membre du Conseil de Fabrique, une personne donc dévouée au service de son village.

Monsieur et Madame DAVID-JORIS de Forrières

20171001_141748.jpgHubert, né à Ave-et-Auffe le 6 janvier 1941 et Marie-Thérèse, née à Lavacherie le 6 janvier 1943 se sont mariés à Lavacherie le 11 août 1967. Monsieur travaillait à la RTT sur Forrières, tandis que Madame travaillait elle aussi à Forrières dans une école. C’est donc par le biais du travail qu’ils se sont rencontrés et c’est tout naturellement qu’ils ont fait le choix de s’installer à Forrières. Parmi leurs principaux loisirs, ce sont la promenade et le jardinage qui font leur bonheur. Il est vrai que notre commune est riche de son environnement. Que ce soit par les promenades balisées, ou par les chemins de traverse, nous pouvons découvrir de magnifiques paysages, des villages de caractère, des forêts profondes et secrètes abritant une flore éblouissante et une faune variée. Quant au plaisir de jardiner, les activités sont variées que ce soit au potager ou dans nos parterres et jardins d’agrément. C’est une véritable chance de vivre dans un endroit tranquille et apaisant. Il n’y a pas que les plantes qui poussent dans nos jardins, on peut y cultiver sa créativité, sa motivation, son optimisme, sa satisfaction et l’estime de soi. Vos passions ainsi décrites, il est tout à fait compréhensible que vous récoltiez tous ces petits bonheurs au travers vos promenades et vos activités au jardin.

 

 

Mr et Mme DOMINICUS VAN DEN BUSSCHE-BUNTINX de Nassogne

20171001_141742.jpgYves, né à Uccle le 14 avril 1945 et Anne, née à Linkebeek le 31 juillet 1945, se sont mariés à Linkebeek le 9 septembre 1967. Ils ont 3 enfants, un garçon et deux filles, et deux petits-enfants. Madame a été mère au foyer, mais a toujours assisté son mari indépendant dans son activité de promoteur immobilier. Il a eu un bureau d’architecte à la Côte d’Azur et s’est occupé de la construction d’immeubles, d’appartements, de résidences particulières. Ils ont voyagé : ils ont habité à la côte belge, la Côte d’Azur, dans les Ardennes puis à Nassogne. Durant sa jeunesse, Madame venait tous les week-ends dans les Ardennes avec ses parents. Voilà cinq ans qu’ils sont arrivés à Nassogne pour y vivre leur retraite. Ils aiment toujours autant voyager et apprécient tout ce qui touche à la culture. Ils aiment la cuisine, les repas gastronomiques et la lecture. Madame aime aussi la marche.

Après avoir autant voyagé et découvert tant de sites attrayants et choisir Nassogne pour y vivre votre retraite, nous ne pouvons que vous en féliciter et par la même occasion nous montrer fiers des attraits de notre commune. Soyez assurés que Nassogne regorge de nombreux secrets et je vous souhaite de vivre de nombreuses années encore pour vous laisser le temps d’en découvrir tous les mystères.

Monsieur et Madame MARLAIRE-DOCQUIER de Harsin

20171001_141806.jpgVictor, né à Grand-Rosière-Hottomont le 10 septembre 1943 et Monique, née à Bomal-sur-Ourthe le 17 janvier 1948, se sont mariés à Esneux le 7 décembre 1967. Ils ont 4 enfants et 9 petits-enfants. Monsieur a repris l’exploitation agricole de ses parents à Seilles et y a travaillé durant 24 ans. Ensuite, le propriétaire des terres a décidé de reprendre la ferme et ils ont dû partir. Ils ont alors été salariés à Nadrin (Houffalize) où ils ont travaillé pour le Baron Janssen. Ils avaient en charge l’entretien des bois, des moutons, des chevaux. La propriété se composait d’un château et deux maisons et il y avait plusieurs salariés. À 65 ans, Monsieur a continué à travailler à mi-temps jusqu’à 72 ans. Madame l’a toujours assisté dans toutes ses tâches. Il y a deux ans, ils ont pris leur retraite. Une fois à la retraite, ils ont cherché un domicile peu éloigné de leurs enfants qui étaient à Andenne, Nassogne et Bérismenil. Ils sont arrivés sur la commune le 1er octobre 2015 en s’installant à Harsin.

Au niveau loisirs, Monsieur aime la chasse ; Madame n’a pas d’activités en tant que telles, mais ses enfants lui apportent de quoi coudre. Elle fait aussi le ménage et la cuisine pour un de ses enfants, elle promène ses chiens et entretient sa maison.

Et pour finir cette petite anecdote : Un jour, alors que Monsieur a été embarqué en hélicoptère suite à un accident de travail, son petit-fils alors âgé de 7 ans lui dit : « Alors papy, l’hélicoptère, c’est gai ? ».

Merci encore pour toutes ces petites anecdotes qui viennent égayer cet après-midi.

Chers couples jubilaires,

Après ces présentations, je voudrais poursuivre cette cérémonie en vous adressant les plus vives félicitations de la Commune de Nassogne pour l’exemple que vous donnez depuis cinquante ans et même soixante ans pour certains.

Vos visages nous sont connus, certains pans de votre vie également. Mais ces unions se sont construites principalement jour après jour au sein même de vos ménages. N’ayez crainte, je n’ai pas été à la recherche de secrets de famille. Je suppose d’ailleurs qu’avoir traversé un demi-siècle en couple et en famille ne s’est pas fait sans heurts.

Permettez-moi néanmoins de vous dire que vos parcours de vie sont de merveilleux témoignages de vie, d’audace, de courage et de solidarité pour chacun d’entre nous, mais aussi pour vos enfants, vos proches et le reste de la société civile.

Attachés aux valeurs familiales, vous vous êtes engagés dans l’aventure de fonder un foyer. Au jour le jour, de semaine en semaine, d’année en année, vous avez construit celui-ci, mettant à votre échelle, une pierre à la grande aventure de la vie en société. Certes vous vous êtes questionné, étonné, peut-être parfois même énervé ou querellé, mais vous avez surtout « construit » quelque chose.

Vous avez appris à vous connaître, à respecter vos personnalités, vos divergences, vos goûts et vos caractères. Ensemble, vous avez cicatrisé les souffrances. Vous avez parfois eu besoin du silence ou du temps pour vous venir en aide, mais vous avez fidélisé vos engagements.

La fidélité, ce n’est pas seulement rester ensemble, c’est aussi croire l’un dans l’autre. Il ne suffisait pas que vos caractères et vos goûts s’accordent, il fallait aussi la volonté pour surmonter les difficultés de la vie. Vous pouvez être fiers de ce que vous êtes, de ce que vous avez fait. Les valeurs que cache votre histoire sont l’amour, le respect de l’autre, la tolérance, le courage, la solidarité et la compréhension.

Nous tous, ici présents, ces familiers qui vous entourent, mais aussi la société civile que je représente, se réjouissent de vous fêter, espérant être un jour à votre place, car elle est le synonyme d’une vie réussie.

Je commençais cet hommage par des félicitations. Je me permets de le terminer par l’espoir que vous puissiez longtemps encore, au sein de votre village, goûter aux joies et aux charmes d’une retraite paisible et sereine, et de rester de plus, des modèles à suivre.

Au nom de mes collègues du collège communal et du conseil communal, au nom aussi de tant et tant de nos citoyens qui vous connaissent, qui apprécient votre gentillesse et votre disponibilité qui aujourd’hui vous entourent de leur affection, je vous adresse une fois encore de chaleureuses félicitations.

Pour clôturer, chers Jubilaires, permettez-nous de vous remettre tout d’abord un nouveau carnet de mariage en souvenir de cette journée d’anniversaire. Comme pour tout anniversaire, quelques fleurs et un cadeau que la commune tient à vous offrir en souvenir de cette journée. Pour ce qui est du cadeau, il se matérialise sous forme d’un chèque que vous pourrez ainsi dépenser à votre guise et selon vos goûts. Attention qu’il y a une date limite pour le déposer en compte.

Avant de vous inviter à partager le verre de l’amitié, je remercie l’Harmonie Royale de Nassogne de sa participation de même que tout le personnel communal qui s’est investi à l’organisation de cette manifestation. Je vous remercie de votre attention.

Marc Quirynen, Nassogne le 1er octobre 2017

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