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Collision entre une voiture et un cycliste au carrefour de la Fontaine Blanche à Harsin, hier lundi 13 avril 2015 à15h16. Le cycliste qui a été renversé, a reçu les soins du SMUR de Aye et des pompiers de Marche, avant d’être hospitalisé légèrement blessé à la clinique de Aye.
A l'heure où j'écris ceci (21h00), les sites du Soir, de La Meuse, de la Libre et de la Dernière heure sont inaccessibles !
Les blogs semblent fonctionner à moitié !
Pour Sudpresse, La Meuse et le Soir, cela semble être rentré dans l'ordre vers 21h15.
Ce mercredi, l’hebdomadaire Moustique sortait les résultats de son étude sur les communes où l’on vit le mieux en Wallonie. Cocorico, c’est en province de Luxembourg que les critères choisis par les auteurs de l’étude sont les plus élevés. Ainsi, au classement général, 5 communes luxembourgeoises occupent le top 10. Il s’agit de Tintigny (2e), Daverdisse (5e), Florenville (7e), Saint-Hubert (9e) et Paliseul (10e). Nassogne, quant à elle, se classe 29e sur 262. Sans compter que le grand vainqueur de ce classement est la commune de Trois-Ponts, qui est limitrophe de la province de Luxembourg…
Qu’est-ce qui explique ces bons résultats des communes luxembourgeoises ? Sans doute les critères choisis par la rédaction de Moustique : l’accès au logement, l’enseignement,
l’environnement, le pouvoir d’achat, la sécurité, l’accès aux commerces, le fonctionnement des institutions, l’emploi, la santé, sans oublier la mobilité. Pour beaucoup de ces critères, les communes luxembourgeoises s’en sortent très bien. La pondération a aussi pu être favorable aux Luxembourgeois. Les auteurs de l’étude ont en effet interrogé
un panel représentatif de Wallons qui ont évalué quels critères avaient plus d’importance au niveau du bien-être.
Une nouvelle enquête publique a été publiée le 26 mars sur le site de la Commune de Nassogne.
Elle concerne la demande de permis pour la construction et exploitation d’un poulailler pour 39 460 poulets de chair, de 2 locaux techniques, 2 citernes à eaux de nettoyage du poulailler de 20 min 3 s, 4 silos tour de 20 min 3 s, d’un groupe électrogène de 50 Kva, d’une niche à cadavres réfrigérée, une station d’épuration individuelle de 5 EH, 1 bassin d’orage de 70 m3, un abri pour bascule et citerne à hydrocarbure, une étable pour 100 bovins en stabulation paillée raclée, une fumière de 30 min 3 s+ Forage d’un puits, rue de Harsin à 6953 AMBLY. Le demandeur est Monsieur Guillaume Orban, Rue de Harsin 20 à Ambly.
Une personne d’Ambly m’a contacté à ce propos et me dit ceci :
"Bonjour,
en son temps, il y a eu une enquête faite sur le blog de la commune pour le dossier des éoliennes entre Grune et Nassogne
Aujourd’hui, l’épineuse question d’installations d’élevages industriels dans la commune se pose en effet à l’heure actuelle,
Une demande d’un méga poulailler (près de 40.000 poulets par ronde/6 rondes par an/un bâtiment tellement grand qu’il nécessite une demande de dérogation — 15 ventilateurs [10 à 72dBa et 5 à 65 dBa], extracteurs des odeurs et humidité fonctionnant sans arrêt, etc.) a été faite pour installation aux portes du village d’Ambly
Se leurrer en se disant que cela sera le seul sur la commune et qu’il n’y en aura pas d’autres... est pratique mais la réalité est toute autre d’après les expériences vécues dans d’autres communes, une demande en entraîne de facto d’autres...
Ne pourrions-nous pas envisager une enquête pour ou contre l’installation d’élevages industriels sur la commune à l’image de celle qui a été faite pour les éoliennes ?"
La voilà, donnez votre avis (que vous votiez pour ou contre, je vous invite à donner votre point de vue via les commentaires ci-dessous) :
Depuis quelques mois, nous avons un nouveau prêtre dans le secteur pastoral de Nassogne, il s’agit de l’abbé Willy Wele-Wele.
L’abbé Willy est né en R.D.Congo le 21/6/1982 dans une famille de cinq enfants, dont 2 filles et 3 garçons. Et lui est troisième. Il fait toutes ses primaires dans son village, à la Mission catholique Beno.
Il poursuit ensuite ses études (six ans) au petit séminaire Saint Charles Lwanga de Katende dans le diocèse de Kenge.
Il fait alors un baccalauréat de philosophie (3 ans) à Kalonda, suivi d’un an de stage à l’évêché de Kenge. Il poursuit par un Master de théologie (5 ans) à l’université catholique du Congo à Kinshasa. Pendant la première année de ce Master, il devient diacre. Et à la fin de la deuxième année, le 26/9/2010, il est ordonné prêtre.
Il obtient ensuite une bourse pour faire un doctorat en théologie à Leuven, en Belgique.
Arrivé à Leuven, il fait un an d’Advanced master in Theology (préparation à la thèse). Il y écrit un mémoire sur l’évolution des paroisses au 21e siècle.
Afin rejoindre le réseau francophone qui réfléchit déjà sur le thème de la paroisse, il sera transféré en 2013, à Louvain-la-Neuve pour sa thèse proprement dite : « L’articulation “Paroisses Nouvelles” et communautés locales : Étude praxéologique et questionnement ecclésiologique à partir de la province Lille-Arras-Cambrai ».
En bref, il étudie l’épineuse question (« tension ») d’articulation entre paroisses traditionnelles (clocher) et le secteur paroissial. C’est au vu de tout cela qu’il se définit d’abord comme un pasteur-chercheur. Sa préoccupation : comment redynamiser les paroisses au 21 ème siècle et les rendre missionnaires, proches des hommes et des femmes d’aujourd’hui ?
Dans l’entre-temps, il a été vicaire à Etalle pendant presque deux ans. Enfin, il est arrivé à Nassogne le 25/9/2014.
Vous voulez le contacter, voici ses coordonnées :
Le jeudi 9 avril, de 10h à 12h, la N4 sera totalement fermée, dans les deux sens de circulation, à hauteur +/- de la Tour de la Famenne (remplacement de ligne pour ORES).
Des déviations seront mises en place pendant ces deux heures de fermeture.
En page 5 de la Meuse Luxembourg de ce samedi 4 avril 2015, on trouve un article sur la société Immolux qui va bâtir à Marche-en-Famenne plus de 5.000 m2 de commerces et 140 appartements au boulevard urbain. Cliquez ici pour lire un résumé.
On y retrouve également une interview (voyez ci-après) du manager d'Immolux, qui évoque les appartements de Nassogne.
Interview de Bernard Hermant, manager d'Immolux :
Marche n’est pas la seule ville de la province de Luxembourg où vous développez des projets…
Non. Actuellement, nous sommes aussi en train de développer un projet sur Libramont.
Où est-il prévu ?
Il sera situé à environ 200 mètres de la gare, rue du Vicinal, près des bâtiments Belgacom. Nous disposons d’un terrain qui est en friche depuis un certain nombre d’années. C’est là que nous comptons implanter notre projet.
En quoi consistera-t-il ?
Il s’agit d’un projet majoritairement résidentiel. Le commerce, à Libramont, s’est plutôt déplacé vers Recogne. Dans ce cas précis, le bâtiment abritera une centaine d’appartements. Au rez-de-chaussée, deux-trois surfaces commerciales seront aménagées. Mais ces dernières pourront tout aussi bien être utilisées par des professions libérales par exemple. Il n’est pas exclu non plus de voir s’y implanter une petite épicerie. Le projet se fera ici aussi par phases.
Quand pourra-t-il se concrétiser ?
Nous espérons obtenir le permis d’urbanisme encore cette année.
D’autres projets sont-ils encore envisagés ailleurs qu’à Libramont et à Marche ?
Nous comptons en poursuivre un à Arlon. Ce dernier concerne la construction d’une série d’appartements. Et à Nassogne, nous comptons également construire plusieurs appartements, mais à ce stade, le projet est encore loin d’être finalisé.
Affaire à suivre !
