La prochaine collecte de sang à Nassogne -Maison Rurale- aura lieu le 27 juin prochain, de 16 à 19heures.
Une Organisation de la Croix Rouge de Belgique
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La prochaine collecte de sang à Nassogne -Maison Rurale- aura lieu le 27 juin prochain, de 16 à 19heures.
Une Organisation de la Croix Rouge de Belgique
Footlux vient de donner sur son blog les deux premières journées du championnat de football 2014-2015.
Le 30 août à 20 heures, Bande reçoit Bourdon et Nassogne se déplace à Melreux-Hotton.
Le 7 septembre à 15 heures, Bande se déplace à Bomal (B) et Nassogne reçoit Tenneville.
Toutes les dates de Bande et Nassogne (et déjà ces deux-ci) se retrouveront bien entendu sur l’agenda sportif qui se trouve dans la colonne de droite du blog !
Voilà les journées complètes, cliquez dessus pour l'agrandir.
Le club du RSC NASSOGNE organise son assemblée générale annuelle le vendredi 27 juin à 20 h à la buvette du club rue des Clusères à Nassogne.
Les personnes désireuses de faire partie du Comité sont invitées à introduire leur candidature écrite auprès du Secrétaire du club, Charles QUIRYNEN, Haute voie de Marche 41 à 6950 Nassogne, ou à l’adresse email : charles.quirynen@hotmail.com.
Bienvenue à tous les sympathisants !
Je viens de mettre de nouvelles photos, principalement du "Vi Nassogne", sur le site des archives de Nassogne. (http://www.lesarchivesdenassogne.net/)
Voilà ce qui j'ai ajouté :
Le « vieux » sanglier pixelisé restera, pour une durée indéterminée, le symbole de la province du Luxembourg. Après six mois de concours et pas moins de 458 logos reçus dans le cadre du concours lancé par la Province, l’institution a décidé de ne pas trancher. Du temps et de l’argent gaspillés, donc. Malgré des propositions intéressantes.
Tout ça pour ça. C’est un communiqué laconique qui a annoncé ce vendredi matin que le concours lancé en décembre dernier par la Province n’avait, en somme, servi à rien. Parmi les 458 logos rentrés
par 188 participants issus de toutes les provinces de Belgique et même de France, du Grand-Duché et des Pays-Bas, aucune proposition n’a réussi à convaincre le prestigieux jury censé élire un vainqueur au concours, et choisir du même coup un nouveau logo pour la Province.
Est-ce la fronde populaire qui aurait fait trembler les édiles provinciaux ?
On peut le supposer, en lisant les motifs avancés par le communiqué provincial. « Les membres du jury ont estimé qu’aucun logo n’a donné parfaite satisfaction », explique ce document. Il semble pourtant nous souvenir que le logo choisi devait être revu par un graphiste professionnel avant de pouvoir représenter la Province. Et pas qu’il devait être « parfaitement satisfaisant » à l’issue du concours…
Mais soit. Peut-être que les logos proposés étaient effectivement en dessous de tout, à un point tel que la Province a dû faire machine arrière. Ici aussi (voir ci-dessous), ce n’est pas le cas. Certaines propositions auraient mérité une certaine considération, au moins à la mesure du travail visiblement fourni par certains participants. Heureusement, ceux-ci sont gratifiés par la Province d’une belle reconnaissance.
« Ce concours a connu un franc succès (…) La Province de Luxembourg et le jury du concours saluent cette démarche citoyenne et tiennent à remercier les nombreux participants pour leurs travaux et
l’intérêt qu’ils ont porté tant à ce concours qu’à la Province », expose le communiqué.
Selon la Province, le « non-lieu » de ce concours ne signifie pas qu’il a été parfaitement inutile. « Le jury », poursuit le communiqué, « a constaté que deux éléments ont très majoritairement inspiré les participants : le slogan et le logo “une ardeur d’avance”. Cette considération essentielle sera prise en compte pour la suite de la démarche de valorisation du territoire. » Il s’agit effectivement d’un enseignement majeur, sachant qu’il était conseillé aux participants, dans le règlement, de réfléchir à une révision de ce slogan et du fameux sanglier pixelisé…
Tout n’est pas toutefois pas perdu : la Province va à présent désigner une société spécialisée, qui (re) fera le travail que 188 petites mains viennent d’exécuter. « Si (cette société) décide de s’inspirer d’un ou de logos déposés, leurs auteurs seront récompensés selon les modalités définies par le règlement du concours. » Ouf !
QUENTIN DEUXANT (La Meuse Luxembourg de ce 21 juin 2014)
Après la bande à câlins l’an dernier, méfiez-vous cet été de la bande aux rétroviseurs.
À la police fédérale, le signal d’alarme vient d’être déclenché. Toutes les zones concernées sont donc averties. Et c’est principalement en Wallonie et à Bruxelles que cette bande sévit actuellement. Des escrocs venus tout droit du sud de la France pour s’attaquer à des victimes francophones, exclusivement des personnes âgées. Des cibles plus vulnérables et donc plus faciles à convaincre. Le pouvoir de persuasion est justement la principale arme de cette bande d’escrocs dont les membres, âgés entre 30 et 40 ans, ont un look vestimentaire plutôt élégant.
« Après l’arrestation de plusieurs auteurs en 2009, le phénomène avait quasi disparu chez nous mais refait, hélas, surface. La technique est la suivante : après avoir repéré leur cible sur le parking d’un supermarché par exemple, les auteurs simulent un petit accident. Ils interpellent une personne âgée au volant de sa voiture, généralement au moment où celle-ci manœuvre justement, et lui font croire qu’elle a endommagé le rétroviseur de leur véhicule », précise l’officier de l’information en matière de vols organisés à la PJF, Alain Tricquen. Alors que le complice reste dans la voiture ou s’éloigne discrètement, l’escroc suggère à la personne soi-disant en tort de s’arranger à l’amiable.
Et c’est là qu’une véritable mise en scène s’opère. « L’escroc propose à sa victime de débourser en liquide de 2 à 3.000 euros pour les dégâts causés. Elle lui assure que cela lui coûtera bien moins cher que de faire intervenir son assurance.
Et le vice est même poussé plus loin, avec la simulation d’un appel direct à l’assureur. À l’autre bout du fil, le complice resté dans la voiture, joue le courtier et déballe toute une série d’arguments pour convaincre la personne âgée de l’intérêt de cet arrangement à l’amiable. Il lui affirme, par exemple, qu’elle risque de payer une prime d’assurance bien plus élevée à l’avenir ou encore, qu’elle pourrait carrément perdre son permis de conduire en raison de son âge avancé. Ils jouent sur la peur, et malheureusement, ça marche », poursuit Alain Tricquen.
Certaines victimes ont perdu bien plus que 3.000 euros. Elles sont quasi toutes âgées de plus de 75 ans.
Si vous êtes face à une situation similaire, Alain Tricquen vous recommande d’alerter la police et de noter la plaque du véhicule.
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