Atterrissage de l'hélicoptère de Bras-sur-Lienne ce jeudi 3 juillet 2014 vers 20h30 pour évacuation d'une personne malade.
Vidéo : Jean-Michel Lips
Photo : Adrien Bosquet.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Atterrissage de l'hélicoptère de Bras-sur-Lienne ce jeudi 3 juillet 2014 vers 20h30 pour évacuation d'une personne malade.
Vidéo : Jean-Michel Lips
Photo : Adrien Bosquet.
1) 3 petits mots qui fonctionnent !
Ces 3 petits mots sont :
« Un moment SVP ».
Dire ces 3 mots, tout en déposant votre combiné de téléphone et en vaquant à vos occupations (au lieu de raccrocher immédiatement) rendrait les appels de télémarketing tellement longs et coûteux que les ventes ralentiraient.
Par la suite vous entendrez le « beep-beep-beeps » et vous saurez qu’il est temps de revenir au combiné et de raccrocher et la tâche est complétée.
Ces trois petits mots aideront à éliminer la sollicitation téléphonique.
--------------------------------------------------------------------------------
2) Recevez-vous ces coups de téléphone frustrants où personne n’est à l’autre bout?
Ceci est une technique de télémarketing où une machine compose l’appel et enregistre le moment de la journée où vous répondez au téléphone.
Cette technique est utilisée pour déterminer le meilleur moment de la journée pour qu’une vraie vendeuse (ou vendeur) vous appelle afin de parler à quelqu’un au bout du fil.Après avoir répondu, voici ce que vous pouvez faire si vous notez qu’il n’y a personne au bout du fil : Appuyez le plus rapidement possible le bouton « # » pendant 6 ou 7 fois.
Ceci confond la machine qui compose l’appel et élimine votre numéro de leur système. Ceci est regrettable, pour eux seulement!
--------------------------------------------------------------------------------
3) Aide pour les courriers postaux indésirables
Lorsque vous recevez des lettres avec une approbation préalable pour les cartes de crédit ou autres, ne jetez-pas l’enveloppe de retour si ces enveloppes sont préaffranchies !
Le coût de ces enveloppes est plus élevé que le tarif normal lorsque les entreprises les reçoivent à nouveau.
Cela ne leur coûte rien si vous les jetez.
Par contre, le tarif normal varie d’une année à l’autre et il augmente avec le poids.
Dans ce cas, pourquoi ne pas vous débarrassez de vos autres courriers indésirables et les insérer dans ces enveloppes affranchies?
Ce lundi 30 juin 2014, une voiture qui venait de faire le plein de LPG à la station Esso du Biran (Rue de la Libération) à Rochefort a soudain pris feu.
Deux personnes ont tenté d’éteindre l’incendie avec leur extincteur, mais les flammes importantes les ont obligés à reculer.
Les pompiers de Rochefort et Marche-en-Famenne sont intervenus très rapidement et ont éteint l’incendie.
Les pompes les plus rapprochées de la voiture ont souffert de l’incendie, mais aucun dégât majeur n’est à recenser.
Pas de blessés heureusement, mais le véhicule est entièrement détruit.
Ci-après une vidéo de Thomas Compere.
Le « vieux » sanglier pixelisé restera, pour une durée indéterminée, le symbole de la province du Luxembourg. Après six mois de concours et pas moins de 458 logos reçus dans le cadre du concours lancé par la Province, l’institution a décidé de ne pas trancher. Du temps et de l’argent gaspillés, donc. Malgré des propositions intéressantes.
Tout ça pour ça. C’est un communiqué laconique qui a annoncé ce vendredi matin que le concours lancé en décembre dernier par la Province n’avait, en somme, servi à rien. Parmi les 458 logos rentrés
par 188 participants issus de toutes les provinces de Belgique et même de France, du Grand-Duché et des Pays-Bas, aucune proposition n’a réussi à convaincre le prestigieux jury censé élire un vainqueur au concours, et choisir du même coup un nouveau logo pour la Province.
Est-ce la fronde populaire qui aurait fait trembler les édiles provinciaux ?
On peut le supposer, en lisant les motifs avancés par le communiqué provincial. « Les membres du jury ont estimé qu’aucun logo n’a donné parfaite satisfaction », explique ce document. Il semble pourtant nous souvenir que le logo choisi devait être revu par un graphiste professionnel avant de pouvoir représenter la Province. Et pas qu’il devait être « parfaitement satisfaisant » à l’issue du concours…
Mais soit. Peut-être que les logos proposés étaient effectivement en dessous de tout, à un point tel que la Province a dû faire machine arrière. Ici aussi (voir ci-dessous), ce n’est pas le cas. Certaines propositions auraient mérité une certaine considération, au moins à la mesure du travail visiblement fourni par certains participants. Heureusement, ceux-ci sont gratifiés par la Province d’une belle reconnaissance.
« Ce concours a connu un franc succès (…) La Province de Luxembourg et le jury du concours saluent cette démarche citoyenne et tiennent à remercier les nombreux participants pour leurs travaux et
l’intérêt qu’ils ont porté tant à ce concours qu’à la Province », expose le communiqué.
Selon la Province, le « non-lieu » de ce concours ne signifie pas qu’il a été parfaitement inutile. « Le jury », poursuit le communiqué, « a constaté que deux éléments ont très majoritairement inspiré les participants : le slogan et le logo “une ardeur d’avance”. Cette considération essentielle sera prise en compte pour la suite de la démarche de valorisation du territoire. » Il s’agit effectivement d’un enseignement majeur, sachant qu’il était conseillé aux participants, dans le règlement, de réfléchir à une révision de ce slogan et du fameux sanglier pixelisé…
Tout n’est pas toutefois pas perdu : la Province va à présent désigner une société spécialisée, qui (re) fera le travail que 188 petites mains viennent d’exécuter. « Si (cette société) décide de s’inspirer d’un ou de logos déposés, leurs auteurs seront récompensés selon les modalités définies par le règlement du concours. » Ouf !
QUENTIN DEUXANT (La Meuse Luxembourg de ce 21 juin 2014)
L’université de Liège (le centre Cyclotron) cherche de jeunes hommes en bonne santé, âgés de 18 à 30 ans, pour participer à une étude sur le sommeil. Pendant 3 semaines, le « cobaye » mènera une vie normale en portant un bracelet de mesure et la 4e semaine, il la passera en laboratoire, dans une chambre, où on le privera de sommeil pendant 40 heures et où il subira une batterie d’examens. Pour sa participation, le cobaye touchera une indemnité de 700 euros. Un tarif qui vient d’être revu à la hausse (500 euros l’an passé), histoire d’attirer plus de candidats. L’an passé, 120 personnes, surtout des étudiants sans revenus, ont participé à l’étude.
Intéressés, cliquez ici.
De son côté, l’unité de recherche clinique de Pfizer à Bruxelles (PCRU) recrute des femmes entre 18 et 60 ans, en bonne santé, chirurgicalement stérilisées et/ou ménopausées, pour prendre part à une étude clinique visant à tester un nouveau médicament et voir s’il n’entraîne pas d’effets secondaires. Les tests se font à l’hôpital Érasme. Là aussi, un dédommagement est prévu. « Je ne peux pas vous en donner le montant exact », nous dit Brigitte Raoult, porte-parole de la firme pharmaceutique.
« Tout cela varie de la durée de l’étude, des contraintes, du nombre de visites à l’hôpital. Pour vous donner un ordre d’idée, on avait prévu une indemnité de 2.000 euros pour une étude de 3 semaines sur le cholestérol. » Chaque hôpital a son comité d’éthique et celui-ci est, paraît-il, très regardant sur les questions d’argent. « On se doute bien que l’argent motive le volontaire », déclare Brigitte Raoult. « Mais il ne faut pas que ce soit l’intérêt premier. On n’acceptera jamais un SDF. Car il viendrait chez nous par nécessité et non par choix, et aussi parce qu’on ne parviendrait pas à le contacter par la suite pour assurer le suivi. » Pfizer dispose de 15.000 volontaires dans sa base de données, qu’il faut parfois… tempérer. « On les oblige à attendre 2 mois avant de participer à une nouvelle étude ». Il faut ménager l’organisme…
Cliquez ici si vous êtes intéressés.
À l’hôpital Brugman, on cherche actuellement des gens allergiques aux poils de chat pour tester un médicament, mais aussi des personnes souffrant des yeux secs, d’alcoolisme, d’un ongle incarné… On trouve de tout sur « le marché » des essais cliniques, mais les tarifs sont rarement affichés. Cliquez ici.
En 2013, l’agence fédérale pour le médicament a autorisé 535 essais cliniques en Belgique, dont 104 pour des volontaires sains. Quand on sait qu’une seule étude peut demander la participation de 500 personnes, ça fait du monde ! La plupart des études se font donc sur des malades, qui bénéficient du traitement gratuit et parfois aussi, en plus d’une indemnité.