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C'est "La Meuse Luxembourg" qui donne l'information :
Les pompiers ont été appelés à 13h49 pour un feu de cheminée dans une habitation de Mormont, un hameau du village de Masbourg (Nassogne). À leur arrivée, les secours ont découvert la toiture en feu. Trois corps de pompiers ont été dépêchés sur place. Il n’y aurait pas de blessé.
La forêt wallonne connaîtra d'ici quelques années un climat différent de celui sous lequel nos arbres poussent aujourd'hui.
Les propriétaires forestiers doivent s'y préparer en adaptant leur gestion et en modifiant leurs pratiques sylvicoles.
Afin de les y encourager, la Province de Luxembourg octroie une prime de 750€ par hectare reboisé à TOUS les propriétaires d’une parcelle forestière en province de Luxembourg où qu’ils soient domiciliés.
La révision du choix des essences peut apparaître comme la mesure d’adaptation la plus concrète. Une telle approche soulève une série de questions. Pour vous aider à y répondre, la Province de Luxembourg vous invite à recourir à un expert forestier en vous octroyant un bonus de 200€ !
En bref :
Les essences replantées peuvent être feuillues ou résineuses mais il faut impérativement installer 3 essences au minimum à concurrence de 15% de présence pour chacune d’elles a minima.
Les travaux peuvent être réalisés par un professionnel ou par le propriétaire lui-même. La liquidation de la prime sera effective après remise des factures et certificats de provenance des essences.
L’introduction de la demande doit se faire auprès de RND asbl (coordonnées ci-dessous) et doit toujours être faite avant l’exécution des travaux.
Les documents nécessaires (règlement et formulaire de demande) peuvent être téléchargés en ligne sur www.rnd.be ou demandés auprès de RND asbl.
Contact: M. Jérémie Deprez RESSOURCES NATURELLES DEVELOPPEMENT asbl www.rnd.be Rue de la Fontaine, 17C à 6900 Marche-en-Famenne T. +32 (0)84 32 08 42 Mail : j.deprez@rnd.be
« Un poulailler industriel de plus : les habitants s’indignent », c’est le titre d’un article du journal « La Meuse Luxembourg » d’hier jeudi 29 septembre signé Nicolas Poës.
Voilà ce qu’il y est dit :
Un nouveau projet d’exploitation avicole fait couler beaucoup d’encre à Grune (Nassogne). Il est question de produire 39 600 poulets de chair par an. Les habitants sont inquiets.
Le massacre de Bande fait partie des épisodes très douloureux de la Seconde Guerre Mondiale. Le long de la N4, le Mémorial du souvenir de ce drame accueille de nombreux visiteurs. Il fait actuellement l’objet d’une restauration complète. En décembre une exposition sera organisée. Deux projets d’envergure mis sur pied par le Comité de Mémoire de la localité.
Rappel des faits : À la fin de la Seconde Guerre Mondiale, le village de Bande (Nassogne) a été le cadre d’un odieux massacre perpétré par les Allemands. Le 5 septembre 1944, un groupe armé appartenant au maquis belge avait attaqué une unité allemande, tuant trois soldats de la Wehrmacht. Peu après, la région sera libérée par les troupes américaines, l’armée allemande battant en retraite. Toutefois, le 22 décembre 1944, lors d’une contre offensive allemande dans les Ardennes, le village de Bande est à nouveau repris. La veille de Noël, une unité du SD (Sicherheitsdienst) allemand arrêtera finalement tous les hommes du village de Bande. Ceux-ci seront alors interrogés sur les événements liés à l’attaque du 5 septembre 1944, avant d’être alignés devant le café du village. L’un après l’autre, ils sont entraînés à l’intérieur et abattus par un membre du SD, d’une balle dans la nuque. 34 hommes, âgés de 17 à 32 ans, seront ainsi tués. Un seul réussira à s’évader, Léon Praile, qui tente sa chance et parvient à s’enfuir dans les bois. Il témoignera par la suite des événements. Le village de Bande sera finalement libéré le 10 janvier 1945 par les troupes britanniques qui découvriront le terrible massacre.
Suite à la bagarre qui s’est déroulée à Rochefort dans la nuit du 10 au 11 août dernier, Michaël Roberty a perdu la vie. Au total, quatre personnes sont désormais derrière les verrous. Mais le papa de Florentin, dont le mandat d’arrêt a été confirmé pour un mois ce vendredi, jure que son fils est innocent.
L’enquête avance à grands pas dans le terrible dossier de Rochefort. Un nouvel individu, Florentin a été entendu par la Chambre du Conseil de Namur ce vendredi matin. Son mandat d’arrêt a été confirmé pour un mois pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans avoir l’intention de la donner.
Au total, quatre personnes sont désormais derrière les verrous dans le cadre de ce drame : Mathieu M. et Tigrane W ainsi qu’Hallan D. et enfin Florentin. Le papa de ce dernier se confie : « Je ne peux pas vraiment parler sans l’accord de mon avocat, mais je veux simplement vous dire que mon fils n’a rien à se reprocher dans cette histoire. La justice a décidé de le garder simplement pour une histoire de SMS qu’elle juge suspecte. Mais Florentin n’a rien fait », commence-t-il. « Si mon fils avait commis une bêtise, il assumerait. Je le connais. Et moi, je ne le défendrais pas ».
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Des centaines de personnes se sont rassemblées jeudi après-midi à la salle de la Petite-Europe, à Bande, pour rendre un dernier hommage à Michaël Roberty, décédé à l’hôpital des suites d’une bagarre le 10 août dernier au Bal des Lampions à Rochefort. « Ton départ est douloureux, insupportable, incompréhensible, injuste », témoigne l’une de ses nièces. Les événements dramatiques ayant entraîné la mort du Nassognard de 38 ans ont bien entendu été évoqués. Par ses sœurs et nièces, notamment. « Ils t’ont assassiné, ils nous ont démolis… Je suis anéantie, on l’est tous ici. Mais je vais essayer de me relever, pour toi, pour que justice soit faite et que plus jamais de telles atrocités se reproduisent. »
Pourtant, c’est avant tout la personnalité joviale, communicative et festive de Michaël, véritable punk dans l’âme, que ses proches ont tenu à célébrer. « Le malheur de t’avoir perdu ne doit pas nous faire oublier le bonheur de t’avoir connu. » Et ils étaient nombreux à prendre la parole pour évoquer leurs souvenirs devant la salle archicomble du village : famille, potes, simples anonymes…
Lire la suite dans La Meuse Luxembourg de ce vendredi 23 août ou en cliquant ici.
Voici le témoignage de Manu, un ami d’enfance de Michaël :
Mick, mon ami Que dire de notre amitié ? Nous avons passé toute notre jeunesse ensemble. À un court moment, nous nous sommes un peu éloignés à cause de la musique, tu aimais le punk et moi, je préférais la techno, mais nos liens d’amitié n’en ont pas souffert. Régulièrement, on prenait des nouvelles l’un de l’autre. Notre amitié était telle que nous avons cohabité pendant quinze mois, juste avant ton départ pour la Suisse. Il y a cinq mois d’ici, tu m’as téléphoné, me demandant de venir te rechercher en Suisse… De suite je t’ai dit « oui ». J’ai réservé une camionnette, trouvé Yourik pour m’accompagner et te ramener. En 24 heures, tu étais de retour à Bande. Avant ton départ pour la Suisse, Roxane, toi et moi avions coupé un billet de 10 euros en deux, non promettant de se retrouver dans dix ans pour faire un week-end de folie. À 20 jours près, cela aurait fait dix ans. Nous avons gardé notre moitié de billet et toi, dans ton cercueil, tu as le tien. Tôt ou tard, nous nous reverrons et nous recollerons le billet et nous foutrons le bordel là-haut. Ta famille peut compter sur notre soutien à Roxanne et à moi. Manu