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Je vous avais déjà expliqué que Bernard Ruebenthaler et sa femme Monique, montaient de Martel à Nassogne en autonomie complète et par des chemins pour vélos (Ravel). Cliquez ici pour revoir la note.
Ils vont bientôt quitter la Vendée et ont pour l'instant 840 Km au compteur.
Tout se passe bien, à part deux points de suture entre deux orteils pour Bernard, dus à la rencontre avec une sardine !
Bernard Ruebenthaler (Le Président du Comité de Jumelage Martel-Nassogne) et sa femme Monique ont quitté Martel en vélo ce samedi dernier 20 juillet. Destination : Nassogne.
Si j'ai bien compris ce que Bernard m'expliquait, ils n'utilisent que des chemins pour vélos, ce qui fait qu'ils vont faire un périple de plus de 1000 kilomètres.
Contrairement à ce que les Nassognards avaient fait il y a quelques années, aucune intendance ne les suit, ils sont en autonomie complète.
Voilà le premier message reçu de Bernard hier :
"Partis samedi de Martel en vélo, nous sommes à Blaye, à la citadelle. Tres beau camping. 300km effectués à ce jour. Arrêts à La Roque Gageac, Tremolat, Bergerac, Castillon La Bataille. Demain, direction Royan. Que les Nassognards mettent la biere au frais, on arrive."
Vous devez chers lecteurs, savoir, que Nassogne est jumelée avec une ville de France, dans le Lot, Martel.
Chaque année depuis treize ans s'y déroule le week-end après le 14 juilet (ou ce week-end-là si le 14 juillet tombe pendant les deux jours) un festival de Bandas. Je n'en ai loupé que trois.
Une petite vingtaine de Nassognards avaient d'ailleurs fait les 800 km qui séparent nos deux cités pour aller se mettre dans l'ambiance musicale. Les voici en photo.
Pour la petite histoire, voilà les lauréats :
Marteau de bronze : Los Cassanoialos (Chasseneuil 16), marteau d’argent : Les Boleros Burgais (Burg 65), marteau d’or : la Banda Follet (Mazirat 03), prix du plus jeune musicien : Hélio (6ans) de Los Cassanoialos, prix de la précision musicale : la Baiona Banda (Bayonne 64), prix de la qualité du répertoire : L’Etincelle Branceillaise, prix de la chorégraphie : la Banda Follet, prix de la parité Homme/Femme : Les Boleros Burgais, prix animation : Joyeuse Banda (Boves 80), prix du bénévole : Martine de Festi Martel.
Pour suivre une petite vidéo du dimanche qui résume bien l'ambiance gténaile de ces deux jours (Remarquez que les Nassognardes ne sont pas les dernières à danser):
Une demande de permis de recherche d’hydrocarbures est en cours d’examen au niveau local, permis de recherche d’hydrocarbures sur 1777 km2 au total. Le dossier passe ensuite à l’échelon national. Trois collectifs se sont constitués sur le périmètre de la demande, l’un à Sarlat, l’autre à Brive, le troisième à Martel. Ce dernier regroupe les intérêts du territoire nord-lotois. Les trois collectifs unissent leurs efforts, ils agissent main dans la main.
La demande de forages d’exploration concerne chaque lotois situé au nord d’une ligne imaginaire passant de Souillac à Tauriac, qu’il soit agriculteur, commerçant, retraité, industriel ou simple particulier amoureux de ce terroir.
Deux nouveaux diaporamas sont désormais disponibles sur la page spéciale créée à propos du jumelage Nassogne-Martel, cliquez ici pour y arriver, sinon, elle se trouve au-dessus de la colonne de gauche de ce blog.
Le premier avec des photos de 1978 tirées de diapositives de Jacky Blaise. Et le second, de 2012 avec des photos de Philippe Cheron.
Voiçi un petit film sur Martel fait avec des diapositives de Jacky Blaise (Merci à lui et n'hésitez pas à me prêter vos documents également) que j'ai scannées et qui datent de 1978 et 1981.
Ce film est en HD. Mettez-le en résolution maximale en cliquant sur la roue dentée puis en pelin écran pour bien profiter des photos.
L’association gestionnaire du train touristique pourrait disparaître, dès l’instant où la société propriétaire de la voie ferrée ne renouvellerait pas la convention de mise à disposition des voies, comme elle le laisse entendre…
L’association dénommée « Chemin de Fer Touristique du Haut-Quercy », court le risque de ne plus pouvoir exploiter le train touristique de Martel, si la SCI « Chemin de Fer de Martel », mettait à exécution sa menace de ne pas renouveler la convention de mise à disposition des voies.
« Dès le départ, nous avons eu pour objectif de ne pas laisser sombrer un pan de notre patrimoine. Donc, avec tous ceux qui partageaient cette approche, nous avons cherché une solution pour exploiter la ligne de chemin de fer et bien évidemment racheter le matériel roulant et tout ce qui va avec » déclare Hervé Lacarrière, président de l’association« Chemin de Fer Touristique du Haut-Quercy » (CFTHQ).