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Divers - Page 2

  • Vivre ensemble : rappel des règles de bon voisinage sur le bruit

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    Avec le retour des beaux jours, les activités extérieures reprennent de plus belle : barbecues, jardinage, fêtes en famille ou entre amis. Si ces moments sont précieux, ils s’accompagnent parfois de nuisances pour le voisinage. La Zone de Police Famenne Ardenne a récemment rappelé les règles essentielles en matière de bruit, afin de garantir une cohabitation harmonieuse entre citoyens.

    Le respect du calme : une obligation légale

    Produire du bruit à n’importe quelle heure n’est pas sans conséquence. La législation communale prévoit des sanctions administratives pouvant atteindre 500 euros en cas de non-respect. Il est donc important de connaître les règles en vigueur :

    1. Tapages nocturnes interdits entre 22h et 6h

    Il est strictement interdit de produire des bruits ou tapages nocturnes entre 22h et 6h. Cela inclut les conversations bruyantes, musique forte, travaux ou autres activités susceptibles de troubler le sommeil des riverains.

    2. Tapages diurnes également sanctionnés

    Même en journée, les bruits excessifs sont interdits s’ils perturbent la tranquillité des habitants et ne sont pas justifiés par une nécessité ou un cas de force majeure.

    Si vous organisez une fête, prévenez votre voisinage à l’avance et respectez une certaine modération. Si un volume sonore important est prévu, une autorisation communale peut être exigée.

    3. Utilisation des machines bruyantes réglementée

    L’usage de tondeuses à gazon, tronçonneuses, scies circulaires ou autres engins bruyants est limité aux horaires suivants, à moins de 200 mètres des habitations :

    • En semaine : entre 7h00 et 20h00
    • Le samedi : jusqu’à 20h00
    • Le dimanche et jours fériés : uniquement entre 15h00 et 18h00

    4. Pétards et feux d’artifice : uniquement sur autorisation

    L’usage de pétards ou pièces d’artifice est interdit, sauf autorisation du Bourgmestre ou du Collège communal.

    5. Haut-parleurs et amplificateurs : usage public sous conditions

    L’usage de haut-parleurs, amplificateurs et appareils sonores en espace public est interdit s’il trouble la tranquillité publique, sauf autorisation préalable de la commune.

    Une règle de bon sens : « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse »

    Au-delà du règlement, la Zone de Police invite chacun à faire preuve de bon sens et de respect mutuel. Il suffit parfois d’un simple avertissement ou d’un dialogue cordial pour éviter les conflits de voisinage.


    Conclusion : Les beaux jours doivent rimer avec convivialité, mais aussi avec respect de son entourage. Respecter les règles en matière de bruit, c’est assurer le bien-être de tous. Pour profiter de l’été en toute sérénité, ayons tous le réflexe du bon voisinage.

    Cliquez ici pour télécharger le règlement de police complet de la zone Famenne-Ardenne

  • Michaël Roberty, de Bande (Nassogne), mortellement agressé à Rochefort : le procès des cinq prévenus enfin ouvert

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    Michaël Roberty, 38 ans, originaire de Bande (commune de Nassogne), a tragiquement perdu la vie après avoir été sauvagement agressé dans la nuit du 10 au 11 août 2019 à la sortie d’un bal à Rochefort. Six ans plus tard, ce mercredi 18 juin 2025, le procès des cinq personnes suspectées d’avoir participé au passage à tabac s’est ouvert devant le tribunal correctionnel de Dinant.

    Ce soir-là, Michaël se trouvait au bal des lampions. Il avait bu et été mis dehors en début de soirée. Il s’est calmé et a été autorisé à réintégrer la soirée par les organisateurs et la police. Mais dans la deuxième partie de la soirée, il a été grièvement blessé dans une bagarre. Plusieurs témoins affirment qu’il a été roué de coups alors qu’il se trouvait déjà au sol. Grièvement blessé, il avait été transporté dans un état critique au CHU-UCL de Mont-Godinne, où il est décédé cinq jours plus tard.

    Cinq hommes devant la justice

    Les cinq prévenus sont Mathieu, Hallan, Tigrane, Maxime et Florentin. Tous sont poursuivis pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

    • Mathieu, selon plusieurs témoins, aurait été l’un des plus violents. Il reconnaît à peine sa présence et nie avoir frappé Michaël. Pourtant, le juge rappelle que « sept témoins vous placent assis à califourchon sur lui à lui donner des coups ». Le parquet a requis à son encontre 30 mois de prison.
    • Hallan, connu pour son tempérament nerveux, reconnaît avoir donné de nombreux coups. Mais lors du procès, il tente de minimiser ses propos antérieurs, prétextant la pression et la confusion au moment de l’instruction. Le parquet a également requis 30 mois de prison contre lui.
    • Tigrane admet avoir donné un coup de pied alors que Michaël était déjà au sol. Son avocate plaide une déclaration de culpabilité sans peine, tenant compte de l’absence d’antécédents.
    • Maxime, absent lors du procès, est accusé par plusieurs témoins d’avoir participé à l’agression. L’affaire le concernant pourrait être jugée séparément.
    • Florentin, lui, conteste fermement avoir frappé Michaël. Son avocat plaide l’acquittement, estimant que rien ne prouve qu’il ait porté un quelconque coup.

    Une famille meurtrie et toujours sans réponses

    Pour la maman de Michaël et les membres de sa famille présents au tribunal, cette audience est une épreuve. « C’est difficile d’entendre les mensonges de ceux qui ont ôté la vie à notre fils. C’est pénible d’entendre la violence des faits sans que la vérité n’éclate vraiment. »

    Le parquet a souligné l’attitude contradictoire de certains prévenus, leur volonté de minimiser les faits ou de se décharger de toute responsabilité, et l’absence de solidarité entre eux.

    Le jugement devrait être rendu dans les prochaines semaines.

    Le texte complet de l’article est à lire sur le site de Sudinfo :
    https://www.sudinfo.be/id1009173/article/2025-06-19/le-proces-des-5-personnes-suspectees-davoir-tabasse-mort-michael-roberty

  • Le Proxibus de Nassogne : tous les horaires pour vos déplacements vers Rochefort, Marche et les villages

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    Bonne nouvelle pour les habitants de l'entité de Nassogne : le Proxibus reprend du service à partir de ce jeudi 19 juin 2025, après une période d'interruption due à une panne technique.

    Ce service de transport communal, proposé par la Commune de Nassogne, permet de relier les différents villages de l’entité à Rochefort et Marche-en-Famenne, mais aussi d’assurer des circuits internes le mercredi. Il est particulièrement utile pour les personnes sans véhicule, les aînés ou simplement pour limiter l’usage de la voiture.

    Voici le détail complet des horaires par jour et par circuit.


    Jours de circulation

    • Lundi, mardi et vendredi : Vers Marche-en-Famenne
    • Mardi : Vers Rochefort
    • Mercredi : Circuits internes à Nassogne et villages de la commune.

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  • Un tournant à Nassogne : Le Relais Saint Monon est à vendre

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    C’est une véritable page qui se tourne à Nassogne. Après huit années passées à la tête de la brasserie Le Relais Saint Monon, Roxane Godefroid a officiellement annoncé la mise en vente de son établissement. Une décision mûrement réfléchie qui marque un changement important dans le paysage local.

    Située au centre du village, la brasserie bénéficie d’un emplacement stratégique, apprécié tant des touristes que des habitants. Le bâtiment de 500 m², à vocation commerciale, est proposé au prix de 700.000 € par l’agence Immo By Julie. L’annonce a déjà suscité l’intérêt de plusieurs curieux et professionnels du secteur.

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  • Fermeture complète entre Nassogne et Harsin les 13 et 14 juin : circulation interdite (Astuce itinéraire)

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    Les vendredi 13 et samedi 14 juin 2025, la circulation sera totalement interdite sur le Chemin Thier Renard et la rue de Marche, entre Nassogne et Harsin. La société « Les Enrobés du Gerny » interviendra pour la pose d’une nouvelle couche de roulement sur cet axe.

    Cette interdiction de circulation concerne tous les types de déplacements, sans exception : voitures, camions, cyclistes, tracteurs, piétons... La mesure est prise afin d’assurer la sécurité absolue des ouvriers travaillant sur le chantier et de garantir la bonne qualité du revêtement fraîchement posé.

    Il s’agit d’une interdiction impérative. Non seulement pour des raisons de sécurité, mais également pour éviter tout risque d’endommagement du nouveau revêtement. Tout contrevenant s’expose à des risques d’accident, à des sanctions et à des dommages matériels.

    La fermeture sera en vigueur durant toute la durée du chantier, soit les deux jours complets. Des contrôles seront mis en place afin de faire respecter cette mesure strictement.

    Astuce itinéraire : un itinéraire plus court que la déviation officielle

    Rappelons que si la déviation officielle passe par Grune, il existe un itinéraire alternatif plus direct.

    Lorsque vous êtes à Marloie et entamez la descente vers Hargimont, poursuivez sur environ 200 mètres en direction de On, sans tourner vers Harsin. Sur votre gauche, vous apercevrez une plaque indiquant « Ambly 5 km ».

    Empruntez cette route : elle traverse tout le village d’Hargimont, puis vous conduit directement vers Ambly et ensuite Nassogne. Ce détour est plus court et permet d’éviter le long contournement par Grune, tout en restant sur des routes communales accessibles.

  • Le Comité des Fenesses annonce la mise en place d’une cellule de soutien après les incidents du bal de Forrières

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    Dans un message publié sur sa page Facebook, le Comité des Fenesses de Forrières informe la population qu’une cellule de soutien a été mise en place à la suite des incidents survenus lors du bal du samedi, organisé dans le cadre des festivités de la Pentecôte.

    Cette initiative vise à accompagner toute personne ayant été affectée physiquement et/ou psychologiquement par les événements.

    Une assistante sociale sera présente ce mercredi 11 juin au CPAS de Forrières, afin d’accueillir, écouter et orienter en toute confidentialité les personnes qui en ressentiraient le besoin.

    L’accueil est libre, confidentiel et entièrement gratuit.

    Ce dispositif est accessible à toutes les personnes concernées, sans distinction. Le Comité insiste sur l’importance de ne pas rester seul face à ce qui a été vécu et encourage chacun à en parler autour de soi.

    Pour plus d’informations, il est possible de contacter directement le CPAS de Forrières.

  • Un sanglier sème la panique à Bande : les habitants inquiets pour la sécurité

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    Depuis une dizaine de jours, un sanglier perturbe la quiétude du petit village de Bande, dans l'entité de Nassogne. L’animal, surnommé « Pumba » ou « Groin-Groin » par certains habitants, déambule librement dans les rues, notamment dans les quartiers de la rue Tahée et de la Haute Tahée, semant l’inquiétude parmi les riverains.

    Dominique Paulus, une habitante, témoigne de la peur suscitée par cette présence imprévisible : « Il n’a pas l’air très craintif… Il pourrait surgir à tout moment. Nous avons peur pour nos enfants. » En plus du risque d’accident, les dégâts causés dans les potagers et jardins accentuent le mécontentement des habitants.

    Face à la situation, plusieurs riverains ont contacté le DNF (Département de la Nature et des Forêts), qui a mandaté un chasseur pour éliminer l’animal. Surprise : il ne s’agirait pas d’un, mais de deux sangliers rôdant dans le village. Toutefois, le chasseur n’a pas encore tiré, estimant que les conditions de sécurité n’étaient pas réunies.

    Stéphane Abras, chef du cantonnement DNF Nassogne/Bande, rappelle que les dégâts causés par un sanglier peuvent donner droit à une indemnisation, mais aussi que vivre à proximité d’un bois implique d’accepter une certaine cohabitation avec la faune sauvage.

    Plus d'infos dans La Meuse Luxembourg de ce mercredi 11 juin.