C’est une belle reconnaissance pour Dominique Pierard, originaire de Masbourg (Commune de Nassogne), qui devient le nouveau directeur général faisant fonction du pôle Greenwin, succédant à Véronique Graff après une décennie marquée par de nombreuses réussites. 

Ce changement à la tête de l’organisation intervient également dans un contexte où le paysage de l’innovation est au cœur de l’actualité régionale, les industriels appelant le nouveau gouvernement à ne pas faire des économies dans l’innovation, clé de la réindustrialisation en Wallonie.

Greenwin : un moteur pour l’innovation en Wallonie

Créé en 2011, Greenwin est l’un des six pôles de compétitivité de Wallonie. Ces pôles, nés d’une volonté de booster l’économie régionale, servent d’accélérateurs pour les entreprises qui souhaitent innover. La raison d’être de Greenwin est d’accélérer l’innovation collaborative dans les CleanTech (technologies environnementales) dans trois secteurs stratégiques : la chimie, la construction et l’environnement, pour une société wallonne prospère et durable. 

Avec une communauté de 230 membres composée de grandes entreprises, PME, centres de recherche et universités, Greenwin anime et boost un écosystème collaboratif où l’innovation est au cœur pour propulser la Wallonie vers une économie durable, prospère et créatrice d’emplois. Cette approche collaborative permet aux entreprises, y compris les plus petites, d’accéder à des ressources qu’elles ne pourraient mobiliser seules, en combinant compétences, financements et technologies.

Un impact tangible sur le tissu économique wallon

Les résultats des dix premières années de Greenwin parlent d’eux-mêmes :
- Une augmentation de 60 % de la valeur ajoutée des entreprises membres.
- Un doublement de cette valeur pour les PME.
- Une hausse de 40 % de l’emploi dans les PME impliquées.
- Plus de 330 millions d’euros investis dans l’innovation, dans plus de 90 projets, dont 40 % provenant directement du secteur privé.

Ces chiffres illustrent la capacité du pôle à jouer un rôle d’effet de levier pour encourager l’innovation et renforcer la compétitivité des entreprises wallonnes.

GreenWin se dote d’une seconde feuille de route ambitieuse pour 2025-2030

Sous la direction de Dominique Pierard, Greenwin entend poursuivre sur cette lancée avec une seconde feuille de route tournée vers cinq priorités stratégiques :
1. Matériaux circulaires et biosourcés.
2. Urbanisation résiliente face aux changements climatiques.
3. Neutralité carbone.
4. Industrialisation de la construction.
5. Objectif zéro déchet.

Dominique Pierard : un parcours riche au service de l’innovation

Né le 1er juillet 1972 à Masbourg, Dominique Pierard a toujours conservé un lien fort avec sa région d’origine, il habite Marche-en-Famenne. Après une carrière riche dans l’industrie au niveau local, régional et international, il a rejoint Greenwin en 2022, apportant avec lui une expertise précieuse en matière de gestion d’entreprise, d’industrialisation, de projets complexes et d’innovation.

Sa nomination comme directeur général faisant fonction marque une étape importante pour Greenwin, dont les membres doivent relever de nombreux défis vers une transformation industrielle et économique réussie et durable en Wallonie. À travers ses premières déclarations, Dominique Pierard insiste sur l’importance de la « collaboration et la coopération entre toutes les parties prenantes wallonnes », coopération essentielle pour relever les défis à venir. 

Une fierté pour Nassogne

L’accession de Dominique Pierard à un poste aussi stratégique est une belle source de fierté pour la Commune de Nassogne. Son parcours exemplaire montre comment des compétences locales peuvent briller au niveau régional et contribuer à construire un avenir plus durable pour la Wallonie.

Greenwin, sous sa direction, est prêt à continuer de jouer un rôle moteur pour l’innovation en Wallonie, tout en montrant l’importance des territoires locaux dans cette dynamique globale.

C’est une page qui se tourne pour l’un des établissements phares de Nassogne. Nicolas Alberty, propriétaire de l’hôtel-restaurant Beau Séjour et du restaurant Le Barathym, a récemment annoncé sur sa page Facebook une nouvelle qui a touché de nombreux habitués et amateurs de gastronomie locale.

Dans un message empreint d’émotion, Nicolas a déclaré céder les rênes du restaurant Le Barathym à son collaborateur Romain et à son mari Valentin. Ce duo, désormais à la tête de l’établissement, s’engage à préserver l’esprit chaleureux et la cuisine raffinée qui ont fait la renommée du lieu. Bonne nouvelle pour les habitués : l’équipe en place reste la même, assurant ainsi une transition en douceur et une continuité dans l’accueil et la qualité des mets.

Dans son message, Nicolas a tenu à exprimer sa gratitude envers ses collaborateurs Cédric et Julien, qui l’ont accompagné pendant plus de 14 ans avec bienveillance et complicité. Il a également remercié sa fidèle clientèle, dont beaucoup sont devenus des amis au fil des ans, une preuve de la relation unique tissée entre l’établissement et ses visiteurs.

Cependant, l’aventure gastronomique de Nicolas Alberty ne s’arrête pas là. Il continuera à accueillir les amateurs de bonne cuisine au sein de son hôtel-restaurant familial, Le Beau Séjour, qu’il dirige avec son épouse Emmanuelle et leur équipe dévouée. Avec une promesse claire : maintenir un rapport qualité-prix exemplaire et continuer à proposer une gastronomie qui ravit les papilles.

Ce passage de relais marque une nouvelle étape dans la vie du Barathym, tout en restant fidèle à ses valeurs d’excellence culinaire et d’accueil chaleureux. Les habitants de Nassogne et les visiteurs de passage peuvent ainsi être rassurés : le charme et la saveur qui font l’âme du lieu continueront à vivre sous la direction de Romain et Valentin.

Source : Page Facebook officielle de Nicolas Alberty.

Avec cette transition, c’est une nouvelle dynamique qui s’installe, mais toujours sous le signe de l’amour de la gastronomie et du partage. Félicitations à Romain et Valentin pour cette nouvelle aventure, et longue vie à Le Barathym et Le Beau Séjour !

Les "chaînes" sur Facebook sont ces publications ou messages qui encouragent les utilisateurs à partager un contenu en boucle avec leurs contacts, souvent sous prétexte de bonnes intentions, de menaces voilées, ou d'offres alléchantes. Voici quelques exemples et ce qui les rend problématiques :

Types courants de chaînes :

1. Les chaînes émotionnelles :

   • Exemple : "Partage cette image si tu es contre la maltraitance animale."
   • Pourquoi elles fonctionnent : Elles jouent sur les émotions et la culpabilité.

2. Les chaînes porte-bonheur/malédiction :

   • Exemple : "Si tu ne partages pas ceci dans les 24h, quelque chose de mauvais t'arrivera."
   • Problème : Elles exploitent la superstition et la peur.

3. Les chaînes pseudo-solidaires :

   • Exemple : "Facebook versera 1€ à une cause pour chaque partage."
   • Réalité : Aucune preuve n'accompagne ces affirmations. Elles sont généralement fausses.

4. Les chaînes alarmistes :

   • Exemple : "Attention, un virus détruira ton téléphone si tu reçois un message WhatsApp."
   • Impact : Elles propagent des fausses informations et sèment la panique.

5. Les chaînes "pratiques" ou pseudo-informatives :

   • Exemple : "Copie-colle ce texte pour empêcher Facebook de vendre tes données."
   • Problème : Elles diffusent de fausses idées sur la confidentialité.

Pourquoi ces chaînes sont-elles nuisibles ?

• Propagent des fake news : Elles participent à la désinformation.
• Polluent les fils d'actualité : Elles encombrent les réseaux sociaux avec du contenu non vérifié et souvent inutile.
• Encouragent les comportements compulsifs : Elles exploitent des biais psychologiques, comme la peur de manquer quelque chose (FOMO).
• Favorisent le phishing ou le spam : Certaines incitent à cliquer sur des liens dangereux ou collectent des informations personnelles.

Comment réagir ?

1. Vérifiez les informations : Faites une recherche rapide sur Internet pour valider ou invalider les faits.
2. Ignorez et ne partagez pas : Ne devenez pas un maillon de la chaîne.
3. Informez vos proches : Expliquez calmement à ceux qui partagent ces chaînes pourquoi elles sont inutiles ou nuisibles.
4. Signalez ou cachez les publications : Si une chaîne est manifestement abusive ou mensongère, signalez-la à la plateforme.

Les chaînes jouent souvent sur des émotions puissantes pour obtenir un maximum de partages, mais prendre un moment pour réfléchir et vérifier leur validité est essentiel pour garder les réseaux sociaux utiles et informatifs.

Une information rapportée par La Meuse Luxembourg.

Le procès lié au décès tragique de Michaël Roberty, un homme de 38 ans originaire de Bande (Nassogne), a été une nouvelle fois reporté par le tribunal correctionnel de Dinant. Ce drame, survenu dans la nuit du 10 au 11 août 2019 à Rochefort lors du bal des Lampions, avait marqué les esprits. Michaël Roberty avait été violemment agressé dans une altercation impliquant cinq personnes. Après son admission dans un état critique au CHU-UCL de Mont-Godinne, il succombait à ses blessures quelques jours plus tard.

L’instruction de cette affaire, déjà longue et complexe, a été prolongée en raison d’une récusation du juge, qui avait rencontré l’un des prévenus dans une affaire antérieure. Cette affaire, qui aurait dû être plaidée ce jeudi, est reportée à une date ultérieure. L’enquête, pourtant clôturée depuis juillet 2023, se heurte désormais à de nouvelles conclusions soulevées par la défense, notamment des éléments concernant une potentielle provocation par la victime.

Les cinq accusés, bien qu’ils aient reconnu leur présence sur les lieux, nient avoir donné le coup fatal. Leurs avocats mettent en avant l’imprévisibilité des événements de cette soirée, évoquant des échanges de coups successifs. Pour la famille de la victime, représentée par Maître Preumont, ce report est difficile à accepter, après une longue attente marquée par des expertises et des lenteurs judiciaires.

Proches et amis de Michaël Roberty espèrent que justice sera rendue et que la vérité sur ce drame pourra enfin être éclaircie.

Lien vers l'article : https://bit.ly/49WIXr9

Feux d’artifice : L’appel de Gaia pour sauver des vies animales

Chaque année, les festivités illuminent le ciel de couleurs éclatantes et de détonations assourdissantes, mais derrière cette beauté éphémère se cache une tragédie silencieuse. Pour les animaux, domestiques comme sauvages, les feux d’artifice sont loin d’être une fête. Ils provoquent stress, blessures, fugues, voire des décès tragiques. L’organisation Gaia, en partenariat avec plus de quatre-vingts associations, tire aujourd’hui la sonnette d’alarme et demande l’interdiction immédiate de leur vente au grand public.

Une souffrance méconnue mais omniprésente

Les éclairs lumineux et les bruits soudains des feux d’artifice perturbent profondément les animaux. Les chiens et les chats, dotés d’une ouïe extrêmement fine, vivent ces instants comme de véritables agressions. Nombreux sont ceux qui paniquent, fuient leur foyer, ou se blessent en cherchant désespérément un abri. Certains, pris dans une terreur incontrôlable, peuvent même être victimes d’un arrêt cardiaque.

Les animaux sauvages ne sont pas épargnés. Oiseaux effrayés, cervidés paniqués, ou petits mammifères désorientés : la faune locale subit également des conséquences graves. En plein hiver, les détonations poussent souvent les animaux à fuir leur habitat naturel, ce qui peut entraîner épuisement ou accidents.

Une action collective pour un avenir plus sûr

Face à cette situation critique, Gaia a décidé d’agir. Mercredi, l’organisation a publié une lettre ouverte adressée aux présidents de partis politiques, co-signée par plus de quatre-vingts associations engagées pour la protection animale. Ensemble, elles réclament une interdiction totale de la vente de feux d’artifice aux particuliers.

Pour Gaia, l’objectif est clair : mettre fin à ces pratiques inutiles qui mettent en danger des millions de vies animales chaque année. Des alternatives existent déjà, comme des spectacles lumineux silencieux ou des technologies moins invasives, qui pourraient satisfaire les amateurs de célébrations sans mettre en péril la faune et les animaux de compagnie.

Et nous, citoyens, que pouvons-nous faire ?

En tant que consommateurs, nous avons le pouvoir de changer les choses. Il est possible d’agir dès maintenant en choisissant de ne pas acheter de pétards ou de feux d’artifice. Préférons des alternatives plus respectueuses de l’environnement et des animaux, comme des illuminations artistiques ou des spectacles laser.

Soutenir des organisations comme Gaia est également essentiel. Leur combat pour interdire la vente des feux d’artifice repose sur la mobilisation citoyenne. En signant des pétitions ou en partageant leurs campagnes, chacun peut contribuer à la protection des animaux.

Un pas vers une célébration plus responsable

Les feux d’artifice sont un plaisir éphémère, mais leurs conséquences pour les animaux sont durables et souvent irréversibles. L’appel de Gaia nous invite à repenser nos traditions et à privilégier des pratiques plus respectueuses du vivant. Ensemble, nous pouvons faire en sorte que nos fêtes brillent sans souffrance, pour un monde où toutes les vies sont célébrées.

À vous la parole : Que pensez-vous de l’idée d’interdire les feux d’artifice ? Préférez-vous les alternatives ? Partagez votre avis dans les commentaires et soutenez cette cause importante.  Donnez votre point de vue en commentaires ci-dessous sur ce Blog.