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Vincent Peremans, de Grune, échevin de la commune de Nassogne vient de rentrer au pays après six mois passés en Afghanistan.
Il était parti là-bas pour synchroniser les plans à long terme de l'OTAN (2015-2020) et les plans à long terme du gouvernement afghan.
Bon retour chez nous, Vincent !
La mort d’un jeune est un drame effroyable tant pour sa famille que pour la communauté toute entière.
En collaboration avec la Police locale et le Conseil des Jeunes, l’Administration Communale de NASSOGNE organise une journée de sensibilisation à la sécurité routière réservée à nos jeunes âgés de 16 ans et +.
Celle-ci se déroulera au Hall Omnisports de NASSOGNE le SAMEDI 29 MARS 2014 à 9 heures
PROGRAMME DE LA JOURNEE :
Matinée (dès 9h00) : Après l’accueil des participant(e)s, les jeunes sont invités à participer à différents ateliers :
12 h : repas
De 13h30 à 16 h
Après le visionnage de ces vidéos, questions-réponses en présence de 3 témoins et témoignages de ces 3 personnes, à savoir ;
Si cette journée permet de sauver une seule vie….nous serons tous gagnants !
Pour des raisons d’organisation et de logistique, nous vous remercions de confirmer votre présence pour le 27 mars au + tard auprès d’André BLAISE (0478/883345 ou blaisean@msn.com )ou d’Yves COLIN, l’animateur des jeunes (0473/735.777 ou yves.collin@nassogne.be) ou auprès d’un membre du conseil des jeunes (Arnaud Herin, Amaury Lambert, Emilie Verhoeven, Aurore Luystermans, Geoffrey Collard, Timoté Henquinet, Roxane Godefroid, Isabelle Henrotin, Benjamin Dethise, Lionel Colot, Françoise Francis, Damien Sibret, Jeremi Dupont, Mégane Pierard, Marine Bertrand, Zoé Gillet, Pierre Dehuy, Laura Gérard, Abdul Bijk, Jérémy Collard, Julien Reumont).
Les membres du Conseil sont invités pour la première fois, conformément aux articles L.1122-12, L.1122-13, L.1122-15 et L.1122-17 du Code de la démocratie lieu ordinaire de ses séances (salle du conseil, Place communale à NASSOGNE), le VENDREDI 28 MARS 2014 à 19H30. 
En partenariat avec la zone de Police, le PSSP (Plan Stratégique de Sécurité et de Prévention) souhaiterait recenser le ressenti de la population de la zone Famenne-Ardennes par rapport à son sentiment de sécurité. Ils sont intéressés de savoir comment la population se sent dans sa commune. Y a-t-il des phénomènes qui vous font peur ou polluent votre quotidien ?
Le service propose à cette fin un sondage parfaitement anonyme, il comporte 4 questions très simples en plus de quelques données circonstancielles (âge, sexe, commune). Le tout peut être complété en quelques minutes.
Les données ne seront utilisées que pour le cadre de ce sondage. Les résultats seront communiqués aux communes en plus d’être publiés sur leur site (http://pssp.marche.be).
Votre avis permettra de déterminer leurs actions futures. L’avis du citoyen sera donc au centre de leurs décisions en matière de politique de prévention.
La FGTB wallonne a peaufiné ses calculs. Et réussi à déterminer, commune par commune, le nombre de demandeurs d’emploi qui seront exclus du système en janvier prochain. But : sensibiliser leurs bourgmestres, pour qu’ils fassent pression sur leurs partis…
Thierry Bodson repart à l’offensive. Et le secrétaire général de la FGTB wallonne a décidé de frapper un grand coup, comme il nous le dévoile en exclusivité. En ligne de mire : ces dizaines de milliers de demandeurs d’emploi qui seront privés de leur allocation d’attente dès janvier prochain. L’indemnité versée à ceux qui n’ont pas encore suffisamment travaillé pour avoir droit à des allocations de chômage a en effet été limitée dans le temps par le gouvernement Di Rupo.
En novembre dernier, le syndicat socialiste les avait évalués à 55.000, dont 35.000 Wallons. Une mesure prise vendredi a légèrement adouci les choses pour une petite partie d’entre eux. Mais la FGTB wallonne a refait ses comptes. Ils sont encore 50.000 pour tout le pays, dont 32.105 rien que pour la Wallonie ! Mieux : on sait maintenant où ils vivent. Car Thierry Bodson a chargé son service d’études d’en déterminer le nombre, commune par commune.
Ce chiffre reprend à la fois les chômeurs complets indemnisés, les jeunes en stage d’attente, les demandeurs d’emploi librement inscrits, les chômeurs admis sur la base de prestations à temps partiel volontaire et enfin, les autres demandeurs d’emploi inoccupés et obligatoirement inscrits, qui émargent notamment au CPAS.
Pour comprendre le problème, il faut prendre un autre élément en compte: la population active. Il s’agit des personnes âgées entre 15 et 64 ans, qui souhaitent travailler ou qui travaillent. Lorsqu’on divise le nombre de demandeurs d’emploi inoccupés (DEI) par celui de la population active, on obtient le taux de demande d’emploi… qui atteint parfois des sommets notamment dans les grandes villes…
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