«En 2007, ma compagne et moi avons décidé de mener une réflexion de base sur l’habitat groupé. Une fois le projet défini, nous avons été à la recherche d’un terrain. Au départ, et pour aller jusqu’au bout de la logique, nous aurions voulu trouver une parcelle que nous aurions pu louer via un bail emphytéotique.  Malgré nos nombreuses démarches, cela n’a toutefois pas été possible. Nous sommes alors partis à la recherche d’un emplacement à acheter. Fin 2010, nous avons trouvé ce qu’il nous fallait à Forrières .»

Le terrain dont parle Marc Elleboudt est situé rue Notre Dame de Haurt et s’étend sur 3,9 hectares.

Dans cette aventure, ce couple originaire du Brabant Wallon ne sera pas seul. Plusieurs autres  couples l’ont déjà rejoint, adeptes des mêmes envies, des mêmes valeurs.

«Favoriser l’entraide, les rencontres et les échanges au quotidien tout en respectant la vie privée, l’espace et l’identité de chacun. Vivre dans la simplicité, l’harmonie (rythme) et exprimer la beauté », stipule à cette fin la charte élaborée par les acteurs de ce projet.

Au final, le projet se composera de quatre maisons mitoyennes, un studio et une petite maison commune.  Toute la partie agricole et les parties bâties et à bâtir seront mises en copropriété égale.

La gestion de l’eau sera collective (via notamment un puits), de sa production à son recyclage, en passant par son réchauffement pour les besoins sanitaires. Le bois sera utilisé comme source d’énergie principale. Sa gestion sera également collective.

À terme, l’objectif des familles vivant sur le site sera d’arriver à une certaine autonomie alimentaire.

Pour y parvenir, des potagers individuels et communautaires seront aménagés. « Fin de l’année dernière, nous avons également planté une série d’arbres fruitiers haute-tige de variétés anciennes (pommiers, poiriers, cerisiers…), mais aussi des groseilliers, un noisetier… », précise encore Marc Elleboudt.

Le projet suit actuellement son cours. Le permis de bâtir a été introduit au début de cette année. Si tout se déroule comme prévu, la construction pourrait démarrer au printemps.

En novembre 2012, un verger en forme de fleur a été planté.

Nathalie Husquin.

Le C.P.LUXEMBOURG annonce la remise générale de tous les matches officiels et amicaux prévus ce week-end des 1er, 02 et 03 février 2013.

Sont seuls autorisés, les Tournois en salle et les matches amicaux sur terrain synthétique pour autant qu’ils aient été annoncés.

David, le boulanger de la Tournée Villageoise vous informe qu'il est en congé du 5 au 25 février.

Il reprendra ses tournées à partir du 25/2.

Il demande que l'on commande ses pains supplémentaires avant le 2/2 (j'avais oublié d'en parler plus tôt)

Son numéro de téléphone pour les commandes est toujours le 0478/589.260

« Il était une fois Marche-en-Famenne ». Premier d’une série de trois, ce livre édité par le Musée de la Famenne s’est construit au départ d’une chronique tenue par Francis Roufosse dans Info 2000. L’homme y était monteur-graphiste. Le premier volume explore une période allant des origines à 1700.

Savez-vous qu’en 1236, Marche a été réduite en cendres par les Liégeois en représailles des hostilités que les Luxembourgeois avaient commises dans le Condroz…Et que le 5 juillet 1561, une femme a été brûlée à Marche parce qu’elle était hérétique, plus probablement sans doute parce qu’elle s’était adonnée à la sorcellerie.

De ces petits bouts d’histoire, et de bien d’autres encore, le Musée de la Famenne en a fait un livre. « Il était une fois Marche-en-Famenne : de nos origines à 1700 ».  Deux autres volumes suivront (l’un allant de 1700 à 1890  l’autre allant de 1890 à nos jours).

«  Ces chroniques ont été rédigées entre 1996 et 2005 par Francis Roufosse, commente Luc Templier, le conservateur du Musée. On pouvait les découvrir chaque semaine dans Info 2000 où l’auteur était monteur-graphiste. Jamais, en dehors des recherches historiques publiées par Henri Bourguignon en 1930, on avait approché de si près l’histoire de la ville.  »

L’idée d’en faire un livre a vu le jour voici cinq ans. «  Luc Templier m’a contacté, j’ai tout de suite été intéressé, » confie l’auteur. Chaque chronique a ainsi été retravaillée à la lueur des plus récentes découvertes. Au final, le produit a belle allure. «  Chaque lecteur peut y piocher au gré de ses envies, ajoute Luc Templier. Il peut aborder l’Histoire à travers les petites histoires… un peu comme on le fait ici, au Musée. Grâce à un index général, il peut aussi effectuer une recherche rapide.  »

Le livre est vendu au prix de 18 euros au Musée de la Famenne.

Sur la photo, à gauche, Luc Templier, le conservateur et Françis Roufosse, l'auteur...

Salut, Françis...