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Le Blog de Nassogne - Page 7

  • Le procès du décès du bandurlain Michaël Roberty, à Rochefort est à nouveau reporté

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    Une information rapportée par La Meuse Luxembourg.

    Le procès lié au décès tragique de Michaël Roberty, un homme de 38 ans originaire de Bande (Nassogne), a été une nouvelle fois reporté par le tribunal correctionnel de Dinant. Ce drame, survenu dans la nuit du 10 au 11 août 2019 à Rochefort lors du bal des Lampions, avait marqué les esprits. Michaël Roberty avait été violemment agressé dans une altercation impliquant cinq personnes. Après son admission dans un état critique au CHU-UCL de Mont-Godinne, il succombait à ses blessures quelques jours plus tard.

    L’instruction de cette affaire, déjà longue et complexe, a été prolongée en raison d’une récusation du juge, qui avait rencontré l’un des prévenus dans une affaire antérieure. Cette affaire, qui aurait dû être plaidée ce jeudi, est reportée à une date ultérieure. L’enquête, pourtant clôturée depuis juillet 2023, se heurte désormais à de nouvelles conclusions soulevées par la défense, notamment des éléments concernant une potentielle provocation par la victime.

    Les cinq accusés, bien qu’ils aient reconnu leur présence sur les lieux, nient avoir donné le coup fatal. Leurs avocats mettent en avant l’imprévisibilité des événements de cette soirée, évoquant des échanges de coups successifs. Pour la famille de la victime, représentée par Maître Preumont, ce report est difficile à accepter, après une longue attente marquée par des expertises et des lenteurs judiciaires.

    Proches et amis de Michaël Roberty espèrent que justice sera rendue et que la vérité sur ce drame pourra enfin être éclaircie.

    Lien vers l'article : https://bit.ly/49WIXr9

  • Décès de Guy Bodart (86 ans), de Bande

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    Nous présentons nos sincères condoléances à la famille.

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  • Nassogne : un quatrième projet éolien sur la Commune.

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    La commune de Nassogne est devenue une cible privilégiée pour le secteur éolien avec pas moins de quatre projets de parcs éoliens en cours d'instruction. Voici un panorama des initiatives en cours et des réactions qu'elles suscitent.

    Un premier projet entre Ambly et Hargimont

    La société Storm souhaite implanter un parc de trois éoliennes de 230 mètres sur une crête séparant les villages d’Ambly (Nassogne) et de Hargimont (Marche-en-Famenne). Une enquête publique se tiendra fin janvier pour permettre aux habitants de s’exprimer. Après cela, les communes concernées donneront leur avis avant que le dossier ne soit transmis aux autorités régionales compétentes.

    Un second projet au Tiersain

    Un autre projet, prévoyant l’installation de cinq éoliennes entre Grune et Nassogne, a déjà connu une opposition des autorités communales lors d’une enquête publique à l’automne dernier. Ce projet a une histoire mouvementée : un permis initial accordé en 2016 à Electrabel (aujourd’hui Engie) avait été annulé après un recours citoyen devant le Conseil d’État. Il est aujourd’hui à l’étude au niveau régional.

    Un troisième parc au point-zéro

    Porté par TotalEnergies et Ideta, ce projet propose l’installation de 5 à 6 éoliennes sur des terrains communaux à Bande. Ce dossier se distingue par une consultation populaire organisée à l’échelle de la commune, où 60% des votants se sont montrés favorables, bien que la majorité des habitants de Bande y soient opposés. L’issue dépendra des conclusions d’une étude en cours.

    Un quatrième projet potentiel

    Enfin, un quatrième projet pourrait émerger entre les villages d’Ambly et Harsin. Une réunion d’information préalable est prévue dans les prochains mois. Cette accumulation de projets suscite des interrogations chez les élus locaux. Le bourgmestre de Nassogne, Marc Quirynen, s’inquiète de l’impact global : « Je me demande dans quelle mesure la Région wallonne doit tenir compte des différents dossiers instruits. »

    Vers une saturation éolienne ?

    Face à cette multiplication de projets, les autorités communales et les citoyens expriment des doutes quant à l’équilibre entre développement énergétique et préservation du cadre de vie. Nassogne pourrait bien devenir un "eldorado" éolien, mais à quel prix ?

    Source : La Meuse Luxembourg

  • Illuminations de Noël : pourquoi Nassogne dit non à la prise en charge communale

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    Les villages de Nassogne face à un dilemme : des fêtes de fin d’année lumineuses, mais à quel prix ?

    À l'approche des fêtes de fin d'année, les citoyens de Nassogne se posent une question cruciale : qui financera les décorations et illuminations de Noël dans nos villages ? La réponse du collège communal est claire : ce ne sera pas la commune. Ce refus d’assumer les frais soulève des débats, car les décorations de Noël représentent bien plus qu’un simple embellissement. Elles incarnent l’esprit des fêtes, un moment de magie et de convivialité pour toute la communauté.

    Une charge laissée aux villages

    Lors de la réunion du conseil communal de ce 19 décembre, le collège communal a expliqué sa position, suite à une question du groupe "Ensemble". Selon eux, ce sont les villages et leurs comités locaux qui doivent financer et organiser les illuminations. Ils avancent que certains villages ont déjà pris l’habitude de s’investir dans des animations tout au long de l’année pour générer des fonds nécessaires à cet effet.

    Des exemples concrets ont été cités, comme ceux de Masbourg et Grune. Ces villages, grâce à l’engagement de leurs habitants et à leurs comités actifs, réussissent à financer leurs décorations de Noël. Cependant, d’autres villages, qui n’ont pas la même dynamique associative, risquent d’être privés de l’atmosphère féerique des fêtes.

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  • Feux d’artifice : Un spectacle mortel pour les animaux – L’appel urgent de Gaia

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    Feux d’artifice : L’appel de Gaia pour sauver des vies animales

    Chaque année, les festivités illuminent le ciel de couleurs éclatantes et de détonations assourdissantes, mais derrière cette beauté éphémère se cache une tragédie silencieuse. Pour les animaux, domestiques comme sauvages, les feux d’artifice sont loin d’être une fête. Ils provoquent stress, blessures, fugues, voire des décès tragiques. L’organisation Gaia, en partenariat avec plus de quatre-vingts associations, tire aujourd’hui la sonnette d’alarme et demande l’interdiction immédiate de leur vente au grand public.

    Une souffrance méconnue mais omniprésente

    Les éclairs lumineux et les bruits soudains des feux d’artifice perturbent profondément les animaux. Les chiens et les chats, dotés d’une ouïe extrêmement fine, vivent ces instants comme de véritables agressions. Nombreux sont ceux qui paniquent, fuient leur foyer, ou se blessent en cherchant désespérément un abri. Certains, pris dans une terreur incontrôlable, peuvent même être victimes d’un arrêt cardiaque.

    Les animaux sauvages ne sont pas épargnés. Oiseaux effrayés, cervidés paniqués, ou petits mammifères désorientés : la faune locale subit également des conséquences graves. En plein hiver, les détonations poussent souvent les animaux à fuir leur habitat naturel, ce qui peut entraîner épuisement ou accidents.

    Une action collective pour un avenir plus sûr

    Face à cette situation critique, Gaia a décidé d’agir. Mercredi, l’organisation a publié une lettre ouverte adressée aux présidents de partis politiques, co-signée par plus de quatre-vingts associations engagées pour la protection animale. Ensemble, elles réclament une interdiction totale de la vente de feux d’artifice aux particuliers.

    Pour Gaia, l’objectif est clair : mettre fin à ces pratiques inutiles qui mettent en danger des millions de vies animales chaque année. Des alternatives existent déjà, comme des spectacles lumineux silencieux ou des technologies moins invasives, qui pourraient satisfaire les amateurs de célébrations sans mettre en péril la faune et les animaux de compagnie.

    Et nous, citoyens, que pouvons-nous faire ?

    En tant que consommateurs, nous avons le pouvoir de changer les choses. Il est possible d’agir dès maintenant en choisissant de ne pas acheter de pétards ou de feux d’artifice. Préférons des alternatives plus respectueuses de l’environnement et des animaux, comme des illuminations artistiques ou des spectacles laser.

    Soutenir des organisations comme Gaia est également essentiel. Leur combat pour interdire la vente des feux d’artifice repose sur la mobilisation citoyenne. En signant des pétitions ou en partageant leurs campagnes, chacun peut contribuer à la protection des animaux.

    Un pas vers une célébration plus responsable

    Les feux d’artifice sont un plaisir éphémère, mais leurs conséquences pour les animaux sont durables et souvent irréversibles. L’appel de Gaia nous invite à repenser nos traditions et à privilégier des pratiques plus respectueuses du vivant. Ensemble, nous pouvons faire en sorte que nos fêtes brillent sans souffrance, pour un monde où toutes les vies sont célébrées.

    À vous la parole : Que pensez-vous de l’idée d’interdire les feux d’artifice ? Préférez-vous les alternatives ? Partagez votre avis dans les commentaires et soutenez cette cause importante.  Donnez votre point de vue en commentaires ci-dessous sur ce Blog.

  • Le Tour de Wallonie 2025 prendra son départ à Nassogne

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    Le grand départ de la 46e édition de l’Ethias Tour de Wallonie aura lieu le samedi 26 juillet 2025 à Nassogne, qui s’apprête à vibrer pendant deux jours au rythme du cyclisme. Après une étape remarquée entre Arlon et La Roche lors de l’édition 2024, la prestigieuse course revient dans la région avec un événement d’envergure.

    Un programme riche et festif

    Les festivités commenceront dès le vendredi 25 juillet avec un programme varié :

    • Un critérium pour les jeunes, qui réunira les catégories U12, U13 et U14 sur un circuit de 3 km tracé dans le village.
    • La présentation officielle des équipes, organisée après la remise des prix du critérium.
    • Un marché du terroir, dans le cadre des traditionnels « Martchîs d’émon nos ôtes », pour mettre en avant les produits locaux et attirer un large public.

    Le samedi 26 juillet, le départ officiel sera donné devant la maison communale. Le parcours inclura une boucle locale pour permettre aux spectateurs de voir passer les coureurs plusieurs fois.

    Un événement de haut niveau

    Le Tour de Wallonie, classé UCI ProSeries, attire chaque année les plus grandes équipes cyclistes. En 2024, 9 des 21 équipes engagées appartenaient au World Tour, le plus haut niveau mondial. De grands noms comme Greg Van Avermaet, champion olympique en 2016, figurent parmi les anciens vainqueurs de cette épreuve.

    Cette édition promet une compétition de haut niveau et une belle mise en lumière de Nassogne, qui devient ainsi une vitrine pour le cyclisme et le tourisme local.

    Une organisation portée par la passion

    L’accueil de cet événement à Nassogne est le fruit du travail de Quentin Blaise, échevin des Sports et lui-même passionné de cyclisme. Il a repris le flambeau de son père, André Blaise, qui avait amorcé les contacts avec l’organisation du Tour.

    En plus de son rôle dans la commune, Quentin Blaise est un sportif accompli. Cycliste amateur, il parcourt 3 000 km par an et participe à des stages, tout en étant arbitre assistant de football au niveau international.

    Avec ses festivités, ses équipes prestigieuses et son ambiance conviviale, le Tour de Wallonie 2025 à Nassogne promet d’être un événement mémorable, célébrant à la fois le sport et le patrimoine local.

  • Un nouveau centre de jour à la Résidence Catherine Mafa de Nassogne : créer du lien pour nos aînés

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    Depuis ce lundi, la Résidence Catherine Mafa, maison de repos et de soins (MRS) située à Nassogne, a franchi un nouveau cap dans son engagement envers le bien-être des personnes âgées en ouvrant un centre de jour. Ce nouvel espace est conçu pour accueillir jusqu’à 10 bénéficiaires, du lundi au vendredi, entre 8h et 18h.

    Un projet ambitieux pour rompre l’isolement

    L’objectif principal de ce centre de jour est clair : créer du lien social et accompagner les personnes âgées, notamment celles qui vivent seules ou qui commencent à éprouver des difficultés dans la gestion du quotidien.

    « L’idée est de proposer un petit suivi aux personnes qui souhaitent rester chez elles, mais qui ont besoin de soutien dans leur quotidien », explique Hugues Amand, directeur de la Résidence Catherine Mafa.

    En offrant un espace chaleureux et accueillant, ce centre ambitionne de rompre l’isolement souvent ressenti par nos aînés tout en leur proposant des activités adaptées à leurs besoins et à leurs envies.

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