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L'échevin cdH de Nassogne, Vincent Peremans, sera le nouveau patron du TEC Wallon (Mise à jour)

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Vincent Peremans, échevin cdH à Nassogne, sera le nouveau patron du TEC Wallon. Il succédera à Jean-Marc Vandenbroucke, mis à la pension ce 31 décembre. Il s’agit d’une décision du Gouvernement Wallon, qui devrait officilaliser la chose dès lundi. Vincent Peremans travaille actuellement comme chef de cabinet de Carlo Di Antonio, ministre cdH de la mobilité et des transports.

Si sa nomination ne sera officialisée seulement qu’à partir de la semaine prochaine, on peut d’ores et déjà l’affirmer : Vincent Peremans, échevin cdH à Nassogne et actuel chef de cabinet du ministre wallon de la mobilité et des transports Carlo Di Antonio, sera le nouveau patron du TEC Wallon. Il succédera à Jean-Marc Vandenbroucke, qui prend sa retraite ce 31 décembre. Une décision du Gouvernement Wallon.

A Nassogne, Vincent Peremans (50 ans) est très apprécié, notamment au sein du collège communal. Qu’il devra quitter. « C’est un homme discret, un travailleur de l’ombre, mais très efficace », commente le bourgmestre de Nassogne.  « Il s’investit beaucoup dans la vie communale, dans de nombreuses  associations, comme par exemple le comité de village de Grune, où il habite ».

Celui qui devient le nouvel administrateur général de la Société régionale du transport (SRWT), qui chapeaute les cinq sociétés de transport en commun (TEC), devra donc démissionner de ses fonctions d’échevin. Il pourra cependant siéger au sein du conseil communal. «Mais nous attendons que les choses soit tout à fait entérinées que pour aller plus avant », souligne le bourgmestre.

Par le passé, Vincent Peremans a également travaillé au sein du cabinet de Benoît Lutgen, quand celui-ci était encore ministre.

Vincent Peremans sera confronté à plusieurs défis importants. On en identifie trois d’emblée. Tout d’abord, il faudra mener à terme le chantier stratégique du tram de Liège, dont le mode de financement reste contesté par les instances européennes. Ensuite, les bus wallons n’échapperont pas éternellement à un retour du débat pourtant très ancien sur l’organisation d’un service minimum en cas de mouvement social, surtout si le gouvernement fédéral met en place une formule de ce type pour la SNCB. Enfin, le nouvel administrateur général devra probablement plancher sur une réforme des structures de l’entreprise actuellement éclatées entre cinq directions régionales et une direction faîtière. Le ministre-président Paul Magnette en personne se dit ouvert à une réflexion sur le sujet.

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